J'ai le sentiment que le sous-préfet de Brest (qui n'est "que" sous-préfet) est en recherche de notoriété auprès de son ministre de tutelle. Je le trouve excessif dans ses prises de position et pas du tout objectif. Comme si on voulait faire un exemple. Je trouve bien plus inquiétants des groupes comme ceux qu'on peut trouver à Nantes, St Etienne, Lyon ou Marseille. Je ne le trouve pas crédible dans cette demande (pour ne pas dire réquisitoire), et il le sera encore moins s'il n'est pas donné de suite favorable à celle-ci. Il passera pour un rigolo qui ne sait pas choisir ses chemises (ni ses cravates).

https://www.letelegramme.fr/finistere/brest-29200/sans-ultras-brest-nest-plus-brest-que-pensent-les-supporters-du-sb29-de-la-dissolution-de-deux-groupes-dultras-6832915.phpLe 09 juin 2025 à 15h31
Suite à l’annonce de la dissolution de deux groupes de supporters ultras du Stade Brestois, vous avez été 166 à répondre à notre appel à témoignages. On débriefe vos opinions.

https://www.letelegramme.fr/sports/football/stade-brestois/dissolution-des-groupes-ultras-pourquoi-le-stade-brestois-va-devoir-sortir-du-silence-6833082.phpDissolution des groupes Ultras : pourquoi le Stade Brestois va devoir sortir du silence

Les titres des deux articles, c'est comme s'il se contredisaient.

"L'annonce de la dissolution... " ; " ... le Stade Brestois va devoir sortir du silence".

La première citation informe que les dissolutions sont actées, comme si c'était déjà officiel. La seconde citation sous-entend qu'il y a débat et qu'une réaction du club est attendue.

Le titre du premier article me parait trompeur, ou inexact.

Le titre du second article ressemble à une injonction pour le club, à devoir faire cesser le silence. Moi ça m'fait marrer. Comme si l'organe de presse était crédible dans le domaine de faire silence ou pas. Il suffit de lire les commentaires sur leur page facebook ce jour, à propos de l'un de leurs articles dans le domaine de la Santé. Pour mesurer à quel point le fonds de l'article est à l'opposé du ressenti et du vécu de la population. Je n'écris pas que c'est toujours le cas. Même la vraie cause du problème soulevé est donnée par les internautes, alors que l'organe de presse semble faire silence sur l'argument clé.

Le club devrait faire le maximum pour sauver les clubs de supporteurs car ces derniers ont exclus les "brebis galeuses" et les ont désavouées et que le discours officiel est à mes yeux un mensonge éhonté, dire que la terreur règne aux alentours de FLB tous les soirs de match est RIDICULE, je n'ai de ma vie jamais vu de violence autour du stade, quels gus avinés oui et très souvent même dans ce cas une ambiance bon enfant. Donc soit ce ss préfet n'est jamais venu au stade et répète des propos mal intentionnés et donc sans les avoir vérifiés soit il se fait moussé en prônant une politique ultra répressive et ce sans raison.

Version LORIENT

https://www.letelegramme.fr/morbihan/lo ... 837316.php

@Tramontane
L’article n’a rien à voir avec Brest.

La version du Lorientais ne colle pas du tout avec ce qu'il s'est passé entre Brestois et Lensois. Le lieu, la date, les faits, ... Il n'y a rien qui va.

Si vous voulez mon avis, ce gars n'est pas clair.

@mendelssohn
J'avais bien compris. C'était ironique.

https://www.ouest-france.fr/sport/footb ... id=3099569
Vers une dissolution des 2 groupes d'ultra brestois???

Ah merde nous étions pas au courant...

La question est surtout "mais qu'est ce qu'on va devenir ?"

De l'espoir pour les Ultras ? Dissolutions : menace écartée pour Saint-Étienne, Brest dans l'attente

https://www.letelegramme.fr/sports/foot ... 851218.php

Je n'arrive pas a tout lire mais je trouve ça aberrant

Vÿ

Le 07 juillet 2025 à 19h16
[Info Le Télégramme] Lors d’une rencontre organisée jeudi dernier, un arrangement a été proposé aux groupes d’Ultras du Stade Brestois menacés de dissolution. Les autorités attendent désormais leur réponse. Explications.

Menacés de dissolution les deux principaux groupes d’Ultras du Stade Brestois pourront-ils rechanter à la reprise du championnat, mi-août ?
Menacés de dissolution les deux principaux groupes d’Ultras du Stade Brestois pourront-ils rechanter à la reprise du championnat, mi-août ? (Nicolas Créach/Le Télégramme)
Tandis que la procédure de dissolution initiée par le sous-préfet de Brest, suite aux incidents s’étant déroulés en marge de la venue de Lens en avril dernier, plane toujours au-dessus des UB90 et des Celtic Ultras 2001, les deux groupes de supporters du Stade Brestois se sont vus proposer une solution intermédiaire. Une négociation entamée la jeudi 3 juillet 2025, lors d’une rencontre de près de 2 h entre le sous-préfet de Brest, Jean-Philippe Setbon, des représentants des groupes de supporters concernés et Pascal Robert, directeur général du Stade Brestois 29.

Aucun changement… en apparence
Plutôt que de laisser l’action judiciaire aller à son terme, le représentant de l’État a offert aux fidèles de la Tribune Kemper la possibilité de s’auto-dissoudre, avant de pouvoir se reconstituer dans la foulée, en gardant leurs bâches et leurs blasons. Une solution qui, en apparence, ne changerait rien, si ce n’est qu’entre-temps, les statuts déposés en préfecture par les deux associations auraient, eux, été modifiés. Et incluraient notamment une charte de bonne conduite dans laquelle figurerait des engagements précis comme l’obligation faite aux groupes d’exclure tout membre coupable d’infractions graves (violence, homophobie, etc.). Selon nos informations, une réponse des groupes de supporters est attendue d’ici le 14 juillet.

Une solution qui permettrait à toutes les parties prenantes dans ce dossier de s’en sortir par le haut, et que prônerait également Me Pierre Barthélémy, avocat de l’association nationale des supporters (ANS) auprès duquel chacun des groupes de supporters a pris conseil, mais que nous n’avons pas réussi à joindre, malgré diverses sollicitations.

Pas d’unanimité parmi les groupes concernés
Pour le reste, et en l’état actuel des choses, deux visions s’opposent parmi les supporters concernés entre, d’une part, ceux qui se disent favorables à la proposition faite et, de l’autre, les réfractaires, qui y voient une potentielle atteinte à leurs libertés. Sachant, qu’en cas de refus de la part de l’un ou l’autre des groupes, celui-ci s’expose au fait que la procédure le concernant aille à son terme. Une option qui n’exclut pas, non plus, que la « Commission nationale consultative de prévention des violences lors des manifestations sportives » qui serait alors saisie, et devant laquelle la municipalité et le club seraient aussi invités à prendre position, aille dans son sens… Une option, en forme de coup de poker, qui n’est donc pas sans risque.

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Merci Bert

De rien.
En clair soit les Ultras se dissoudent eux même et se re-créent avec le même nom mais avec de nouvelles directives soit ils sont dissous propre et net.

Perso je pense que c'est un moindre mal. J'espère qu'ils vont accepter

Se renier et manger dans la main du sous préfet, je demande à voir.