Que c’est dur d’être supporter du SB29 !
Tous les ans, on se dit la même chose mais c’est aussi pour ça qu’on aime ce satané club !
Locko ? En tout cas, hors de question de le bradler !

Vu que tous nos joueurs sont transférables , il n'y aurait pas un club en manque de speaker ?

Oui et non. Depuis que les Le Saint/Lorenzi sont aux affaires, on en réalise des ventes et de belles plus-values. Il faut regarder 2010-13 ou la suite en Ligue 2 pour voir d'où on partait.

Après c'est sûr, quand tu vois les Reims ou Strasbourg (même si cas particulier pour ce dernier club), et les montants de certains transferts, tu te dis que tu as encore un déficit "d'image". C'est dû aussi à la relative faiblesse des salaires que l'on donne dans la moyenne de Ligue 1.
En espérant que le LDC, les 2 dernières saisons de Ligue 1, des victoires de prestige comme face à Naples changent un peu ça.

Possible que les culbutes que font d'autres clubs sur les transferts, obligent à ne travailler exclusivement qu'avec certains agents. Or je doute fort que le club de Brest ai envie de se mettre en situation redevable vis à vis de certains agents. Peut être que c'est une volonté d'indépendance relative, qui fait que Brest ne voit pas valeur des transferts ressembler à de la spéculation.

Pourtant un journaliste comme Molina a déjà incriminé plusieurs fois Lorenzi sur ce sujet, lui reprochant de ne travailler qu'avec certaines agences (Clasico notamment).

C'est ce que je me suis dit aussi.

Et que ledit agent touche une comm plus élevée...

Et qu'attend-on en principe d'un journaliste? Qu'il analyse, communique les données qui permettent à son lecteur de se faire une opinion. Rien de tout ça en général malheureusement: du brut, aucun recul, rien.

Ils sont un organe de communication, ils rentrent dans la case fonction commerciale, aucune indépendance. Ils communiquent quand ils ont un intérêt à le faire, monnayant leur influence ou leurs services pour des raisons pécuniaires.

Il n'y a plus de journalistes dans la presse subventionnée, ils ne sont pas payés pour être libres de leurs paroles et de leurs investigations. S'ils osent, ils invisibilisés ou licenciés.