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MessagePosté: Mar 14 Mar, 2006 4:39 
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Fred Cado
Fred Cado
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Un article que je trouve assez représentatif de la situation qui se développe en France.

Tout d'abord une citation de Kojève symbolique de la sagesse des anciens :

Citation:
Tout comme le Maître, le Citoyen aura des droits (et des devoirs) universaux. Les droits de tous étant égaux, ils découleront de l’appartenance d’un chacun au tout, à la société en tant que telle ou à l’État. Et les devoirs seront des devoirs envers tous, c’est-à-dire envers la Société prise dans son ensemble ou envers l’État. Mais du moment que l’État est universel et la Société homogène, les droits et les devoirs appartiendront non pas seulement aux groupes, mais à un chacun pris isolément. Ce n’est pas en tant que citoyen de tel ou tel État national, ou membre d’une telle famille (aristocratique par exemple) ou de tel groupement social (classe) que l’homme aura des droits et des devoirs, mais en tant qu’individu. Poussés à leurs maxima respectifs, l’individualisme et l’universalisme juridiques vont coïncider : les droits et les devoirs les plus personnels, qui ne peuvent être exercés que par l’individu en question, seront les droits et les devoirs les plus universels, c’est-à-dire ceux du citoyen pris en tant que citoyen, ou ceux de tous et d’un chacun.


et le texte ( un peu long je l'avoue :wink: mais j'aimerai savoir ce qu'en pensent les courageux) :

Citation:
(Race and “The scientist” - Article de Jared Taylor, extrait de la revue "American Renaissance", Vol. 8 n° 6 de Juin 1997. Paru en français dans la revue "L'autre histoire")

Note : Les termes "white" et "american" sont traduits par "par euro-américains" qui dans ce contexte s'applique aux citoyens nord-américains d'origine européenne. Nous avons également traduit "America" par "Etats-Unis".


L'utopie selon laquelle la "diversité" serait désormais un des atouts les plus précieux de la société nord-américaine est une croyance si profondément enracinée qu'elle est universellement évoquée à tout propos pour en vanter les mérites, sans craindre les contradiction évidentes entre ce discours et le monde réel. La "diversité" est devenue un de ces grands poncifs nord-américains à l’instar de la démocratie, du patriotisme, de la famille ou de feu Martin Luther King.
En mai 1995, le président des Etats-Unis a cédé à son tour à la tentation facile de l'éloge sans risque de la "diversité" à l occasion d’un message honorant la fête nationale mexicaine du 5 mai. William Clinton a déclaré: Le "Cinco de Mayo" nous offre à tous la chance de célébrer la "diversité" culturelle qui fait la grandeur de notre nation". Quelques jours plus tard, quand il a désigné le mois de mai comme le "mois de l'héritage Asiatique Américain”, il a déclaré: "Avec la force de notre diversité et notre engagement renouvelé en faveur de l'idéal de liberté, tous les Américains vont partager les riches auspices que nous réserve notre brillant avenir".

En 1996, dans sa déclaration de candidature à l'élection présidentielle. "Bill" Clinton a demandé à son auditoire de regarder autour de lui pour constater la "diversité" colorée du parti démocrate.
En octobre 1996, à l'occasion de l'anniversaire de la découverte de l'Amérique, le président avait déjà déclaré: "le voyage entrepris par Christophe Colomb [...] voici plus de cinq cents ans, se poursuit encore aujourd'hui alors que nous expérimentons et nous célébrons les apports des différentes civilisations, non seulement européenne mais du monde entier, qui ont contribué à faire notre pays. L'Amérique est plus forte en raison de sa diversité et la démocratie que nous chérissons prospère dans la grande mosaïque que nous avons créée depuis 1492". Les appels en faveur de la "diversité" ne sont pas uniquement destinés à la consommation intérieure.
Dans un discours prononcé en 1996 devant le parlement australien, le président Clinton a remarqué que l'Australie et les Etats-Unis devenaient progressivement plus mélangés et il ajoutait: "Et nous, l'Australie et les Etats-Unis prouvons que des sociétés libres peuvent entreprendre des changements économiques et sociaux, et que la ''diversité" raciale, ethnique et religieuse que produit cette nouvelle ère nous rend plus forts et plus libres que jamais".
Hillary Clinton, l'épouse du président partage les analyses de son époux. En février 1995, tout en remarquant la présence de davantage de jeunes gens de couleur parmi son auditoire que trente ans plus tôt, elle déclarait aux étudiants de son ancien lycée de la banlieue chic de Chicago: "Nous ne connaissions pas la merveilleuse diversité dont vous bénéficiez aujourd'hui. Je suis triste que nous ne l'ayons pas connue de notre temps car elle aurait été un grand atout pour nous comme je suis sure que vous l'avez déjà découvert".
La "diversité" est ainsi devenue aujourd'hui un leitmotiv pour politiciens en mal de sentimentalisme à bon compte. Il va sans dire que la "diversité", du moins celle que cherche à promouvoir le couple Clinton, est une des idées les plus absurdes que l'esprit humain ait pu concevoir. Néanmoins, il existe une diversité qui est avantageuse. Un entrepreneur, par exemple, ne peut bâtir de maison s'il embauche uniquement des électriciens. Il a aussi besoin de charpentiers, de plombiers, de maçons, etc... Selon toute vraisemblance. cette sorte de diversité fonctionnelle n'est pas celle à laquelle faisait allusion le président. Il se référait à toutes sortes de différences non fonctionnelles comme celles concernant les races, les langues et les choix sexuels. On pourrait les regrouper sous l'appellation de diversité identitaire. Quels seraient les avantages pour un entrepreneur d'embaucher une équipe selon ces critères de diversité identitaire? Aucun.
Quels sont les avantages que tirent les Etats-Unis d'une population “identitairement” diverse? Aucun. L'idée que la diversité identitaire serait un atout est non seulement un mythe, mais un mythe particulièrement néfaste. Expliquer pourquoi la "diversité" est mauvaise pour un pays peut se comparer à un exercice consistant à expliquer pourquoi le choléra est mauvais pour ce même pays.
En revanche. I'astuce est de comprendre comment tout un chacun peut arriver à penser que la "diversité" est une bonne chose.
En fait, la "diversité" est apparue comme un atout après coup, Il est devenu nécessaire d'y croire car tout scepticisme à son encontre ne pourrait cacher que des sentiments "racistes". C'est ainsi que des personnes tout à fait rationnelles et sensées ont commencé à répéter n'importe quelle ânerie au sujet de la "diversité" uniquement en raison de la force du tabou racial dans la société nord-américaine. Progressivement, l'idée de "diversité" a englobé les handicaps physiques et mentaux, les perversions sexuelles et tout autre comportement marginal ou étranger. Douter des avantages de la "diversité", condamne donc l'hérétique à se cataloguer lui-même comme "intolérant" et "raciste". Il va sans dire que seules les sociétés d'origine européenne ou les groupes d'origine européenne au sein des sociétés multiraciales sont mystifiés par le concept de "diversité".
Tout le reste du genre humain identifie la "diversité" prônée par le couple Clinton et le New York Times pour ce qu'elle est: faiblesse, dissension et autodestruction.

L'immigration
En dépit de l'affirmation présidentielle selon laquelle la "diversité" a commencé avec Christophe Colomb, les Etats-Unis durant la plus grande partie de leur histoire se considéraient comme un ensemble ethno-culturel homogène. En 1787, dans le deuxième de ses Federalist papers, John Jay remercia la providence pour avoir donné à ce pays un seul peuple, descendant d'ancêtres communs. parlant le même langage, partageant la même religion, attaché aux mêmes principes de gouvernement et très proche par les habitudes et les pratiques sociales. On ne peut pas affirmer que cette citation soit une célébration de la "diversité". John Jay n'était pas non plus un marginal ou un excentrique. Benjamin Franklin, Thomas Paine et Thomas Jefferson ont également plaidé de manière explicite pour que les Etats-Unis demeurent un pays peuplé d'Euro-américains.
En 1790, la première loi sur la naturalisation exigeait des candidats qu'il soient des blancs libres.
Avant 1965, il était très difficile pour un non euro-américain d'immigrer aux Etats-Unis et de devenir citoyen (à l'exception des descendants des esclaves noirs déjà sur place). Les lois d'immigration se donnaient pour but avoué que les Etats-Unis conservent une population avec une majorité d'origine européenne. Ce n'est que dans les années cinquante et soixante que le pays a tourné le dos à deux cents ans de pensée traditionnelle sur la question raciale et qu'il a commencé sa longue descente vers l'abîme.
Une fois que l'opinion dominante a commis l'erreur de considérer que la race n'était plus un critère pertinent de distinction entre les hommes, tout le reste a suivi. Le parlement n'a pas seulement aboli toute ségrégation légale mais avec la loi de 1964 sur les droits civils a mis fin à la libre association des citoyens entre eux en imposant l'intégration forcée.
La loi de 1965 sur l'immigration et la nationalité, abolissant toute notion de quota en fonction des pays d'origine et ouvrant les portes à l'immigration en provenance de tous les pays du monde, était avant tout une affirmation idéologique de foi antiraciste, une loi de droits civiques au bénéfice du monde entier sauf des Etats-Unis. Ainsi qu'ont pu le souligner des auteurs comme Lawrence Auster dans son livre “The path to national Suicide” et Peter Brimelow dans “Alien Nation”, les soutiens de la loi sur la libéralisation de l'immigration avaient bien du mal à expliquer que cette loi n'aurait pas de conséquence sur la vie du pays. Le sénateur Edward Kennedy déclarait "le niveau actuel d'immigration restera pour l'essentiel le même. En outre, l'équilibre ethnique ne sera pas modifié. Contrairement à ce que l'on peut entendre ça et là, cette loi ne conduira pas à un afflux massif d'immigrants venus d'un pays ou d'une région". Le sénateur concluait en affirmant que l'immigration ne dépasserait pas le chiffre modeste de 62000 personnes par an. Le président Johnson chercha lui aussi à en atténuer les conséquences: "Cette loi que nous signons aujourd'hui n'est pas révolutionnaire. Elle n'affecte pas la vie de millions d'entre nous. Elle ne va modifier en rien notre mode de vie et ne changera pas grand chose à notre richesse ou puissance”.
Le fait que ses initiateurs se soient trompés n'est pas le point le plus important. Même si on tient compte qu'en 1996 on a naturalisé un nombre record de 1.300.000 personnes dont seulement 10 % d'origine européenne. Le point important est que la "diversité" que nous impose cette immigration ne figurait pas parmi les objectifs affichés des promoteurs de cette loi. Il faut admettre que personne ne pouvait imaginer qu'en vingt ans, dix pour cent de toute la population du Salvador aurait émigré vers les Etats-Unis ou que des millions d'immigrants en majorité asiatiques ou hispaniques menaceraient de réduire les euro-américains au statut de minorité raciale vers 1998.
En 1965, avant l'invention du slogan selon lequel "la diversité est notre force", nombre de personnes auraient été choquées par la perspective de changements aussi considérables dans la répartition raciale de la population.
Aujourd'hui. le clivage intellectuel est totalement différent mais dans un sens entièrement prévisible. Le "racisme" est devenu le pire des crimes que peut commettre un euro-américain. Celui qui s'oppose à l'arrivée de davantage d'immigrants de couleur ne peut être qu'un raciste méritant d'être mis au ban de la société. Il n'existe plus de base morale pour s'opposer au fait que les euro-américains deviennent une minorité dans leur pays. Ce qui pouvait apparaître comme une hypothèse impensable en 1965 est devenu aujourd'hui une perspective attirante. Que la "diversité" soit devenue un atout est un parfait exemple d'une affirmation parfaitement infondée soutenue uniquement pour des raisons idéologiques.
A l'instar de l'égalité des races, de l'équivalence des sexes, du manque de pertinence de l'hérédité, de la normalité de l'homosexualité et des bienfaits des handicaps physiques et mentaux, la "diversité" est comparable à tant d'autres principes absurdes dans lesquels s'enferre le libéralisme. Ne concernant au départ que la question raciale, la différence inclut désormais tout et son contraire. Les féministes, les handicapés en fauteuil roulant, les sidaïques, les homosexuels militants et les gens qui préféreraient plutôt parler espagnol qu'anglais, ont emprunté les méthodes d'agitation sociale au mouvement noir des droits civiques. La lutte contre l'exclusion sociale fait maintenant appel au style et au vocabulaire du ressentiment mis en œuvre par les organisations militantes afro-américaines et leurs mentors blancs depuis les années cinquante. Les gros combattent la discrimination, les moches se battent contre le lookisme et au moins un des états fédérés américains a exigé que les scènes où travaillent les strip-teaseuses soient accessibles aux actrices en... fauteuil roulant!
Ceux qui s'opposent à la glorification des marginaux, des anormaux, des étrangers et des minables sont dénoncés avec mépris par les tchékistes de la presse aux ordres et mis en accusation par des intellectuels arrogants, sûrs de leur bon droit moral.
Il peut arriver qu'un auteur comme il faut furète autour de la zone interdite et qu'il s'intéresse aux problèmes des populations. Au risque d'être rejeté comme extrémiste et de perdre la possibilité de travailler, l'éditorialiste du New York Post, Scott McConnell a remarqué que si la perspective pour les euro-américains de devenir une minorité dans leur propre pays était une si bonne chose, pourquoi fallait-il attendre le siècle prochain? On pourrait laisser grandes ouvertes les portes de l'immigration et devenir une minorité en quelques années seulement : "Pourquoi refuserions-nous à notre génération et à nos enfants le tiers-mondisme que nous préparons pour nos petits-enfants?"

Les avantages de la "diversité"
Dans les rares occasions où les tenants du multiculturalisme tentent de présenter des arguments prouvant la supériorité de la "diversité", une des affirmations les plus usuelles est que les avantages deviennent de plus en plus évidents avec la mondialisation croissante de l'économie. En d'autres termes, la population d'origine "internationale" favorisera grandement les exportations américaines. Cette affirmation repose sur la supposition que les gens communiquent mieux avec des personnes qui leur ressemblent. En réalité, cet argument plaide contre la "diversité" au sein d'un même pays. S'il vaut mieux un Coréen pour négocier avec des Coréens, comment les euro-américains sont-ils sensés "négocier" avec les Coréens vivant aux Etats-Unis? Si quelqu'un pensait réellement qu'une population multiculturelle est une bonne chose pour le commerce, nous aurions adopté alors une politique qui ajusterait les afflux d'immigrants en fonction de l'importance du commerce de leur pays d'origine avec les Etats-Unis. Dans ces conditions, pas un seul Haïtien ne serait admis car leur pays est un cul de basse-fosse qui ne sera jamais un important partenaire commercial. Après le Canada, le Japon est notre principal partenaire commercial: Cela veut-il dire que nous avons besoin de davantage de Japonais? Or nul ne plaide en faveur de l'immigration dans ces termes car personne ne songe sérieusement au fait que l'immigration puisse jouer le moindre rôle dans la promotion de nos exportations. L'exemple du Japon (de l'Allemagne, de la Suisse, de l'Italie...) démontre si besoin en était à quel point la "diversité" n'a rien à voir avec le commerce international. Le Japon est une des nations qui réussi le mieux à préserver son homogénéité raciale. Selon les standards de la presse nord-américaine, le Japon est un pays raciste, homophobe, sexiste et plouc. Ils mangent même de la viande de baleine. S'il fallait en croire les arguments des promoteurs de l'immigration et de la "diversité", le Japon devrait n'avoir aucune chance de réussir dans le commerce international. Pourtant, il s'agit d'une des nations qui a le plus brillé dans ce domaine.
La Corée, la République de Chine (Formose) et la République populaire de Chine (Pékin) enregistrent des balances commerciales très positives au détriment des Etats-Unis. Ces pays sont pourtant encore plus fermés et plus homogènes que le Japon. Quand un nord-américain bien comme il faut, en général blond au yeux bleus, tente vainement d'expliquer à des Asiatiques les mérites de la "diversité", ceux-ci attendent que le missionnaire de la pensée politiquement correcte soit parti pour éclater de rire.
L'Allemagne est également un grand exportateur. Qui pourrait nous faire croire que cela est dû à la présence des "Gastarbeiters" turcs? Le fait que des millions de Mexicains vivent désormais aux Etats-Unis ne rend pas nos produits plus attractifs pour les pays étrangers et surtout pas au Mexique.
La "diversité" n'ajoute rien du tout à la compétitivité internationale de notre économie. La "diversité" raciale est également supposée enrichir notre environnement culturel.
Mais quels sont ses résultats concrets? La culture des citoyens ordinaires n'a en rien été changée par la présence des millions d'immigrants de couleur qui sont venus s'installer ici depuis 1965. Ils ont peut-être entendu parler des festivités du Cinco de Mayo (la fête nationale du Mexique) mais même ceux qui vivent en Californie ou au Texas ignorent probablement que cette fête commémore une victoire mexicaine contre l'armée française!
Les immigrants ne nous apprennent rien de Cervantes, de Borges ou de Dante et il serait fou de le penser. Les travailleurs clandestins chinois n'arrivent pas dans nos villes avec une parfaite connaissance des faïences Ming ou avec des exemplaires du Taote Ching dans leurs poches.
Le seul artefact culturel que les immigrants amènent avec eux est leur langage, qui devient rapidement un sabir qui stupéfierait leurs compatriotes.
Les populations immigrées n'ont comme culture que la pire des sous-cultures des Etats-Unis, faite de Coca-Cola, de bons de bienfaisance et de feuilletons télévisés débiles.
La culture et l'histoire mondiale voyagent sans ressentir le besoin d'accompagnateurs en haillons. Qui aux Etats-Unis a entendu parler pour la première fois de Tchaïkowski ou des Mayas de la bouche d'un immigrant? Presque toutes les grandes villes des Etats-Unis possèdent un opéra. Mais il n'a pas été créé un seul par des immigrants italiens. De quelle manière la culture des euro-américains de Miami a-t-elle profité du fait que la ville est désormais peuplée à près de 70 % par des Hispano-américains? Les galeries d'art, les salles de concert, les musées et la vie littéraire de Los Angeles se portent-ils mieux depuis que la ville recrute la moitié de sa population parmi les immigrants du sud du Rio Bravo? En quoi la culture de la capitale fédérale Washington ou la ville de Détroit a-t-elle été enrichie par la majorité noire de leurs populations respectives? Si la "diversité" apporte un indéniable enrichissement culturel, comment expliquer alors que les endroits les mieux enrichis soient justement ceux que les euro-américains souhaitent abandonner au plus vite?
A l’instar de l'argument commercial, l'argument culturel s'effondre au moindre effort d'analyse. S'il est vrai que depuis 1965 davantage d'écoliers nord-américains apprennent l'espagnol, bien moins apprennent l'allemand, le français ou le latin. Comment peut-on dans ces conditions parler d'amélioration de notre culture nationale''? Les gens peuvent bien entendu, apprendre le langage qu'ils désirent sans pour autant remplir le pays d'immigrants. La majorité des Norvégiens parle un excellent anglais, pourtant le pays ne grouille pas de sujets de sa Gracieuse majesté. Toute discussion sur les vrais avantages offerts par la "diversité" ethnique n'aboutit qu'à un seul véritable consensus: la présence de bons restaurants étrangers. Néanmoins, même William Clinton n'oserait pas affirmer que l'ouverture d'un authentique restaurant thaï dans chaque ville américaine puisse constituer un objectif méritant un consensus national.

Les services publics
Il est désormais tenu pour évident à tous les niveaux de la société que les services publics comme les pompiers et la police devraient faire appel à des gens de toutes les races. La théorie à la mode est qu'il vaut mieux envoyer des policiers noirs ou hispaniques patrouiller dans les quartiers habités par leurs compatriotes. Ne s'agit-il pas au contraire d'un fantastique argument à l'encontre même de l'idée de "diversité"?
Il s'agit de la preuve la plus évidente que cette fameuse "diversité" est un fardeau et non pas un atout. Si dans tous les Etats de l'Union il est démontré que les Euro-américains ne peuvent pas faire la police ou éteindre des incendies dans un quartier habité par des personnes de couleur, cela démontre à quel point la "diversité" est en réalité un facteur de désagrégation. La mixité raciale des forces de police (présentée comme un des merveilleux résultats de la "diversité") est rendue obligatoire uniquement par le fait que les fonctionnaires appartenant à une race déterminée et des citoyens d'une race différente ne peuvent vivre et travailler ensemble. La diversité de la police qui est présentée comme une victoire des idées humanistes est la preuve patente que la "diversité" est un échec cinglant pour ce qui relève de la vie quotidienne. La situation est très semblable dans le cas des efforts pour diversifier les autres services publics. Si des juges et des procureurs hispano-américains sont recrutés en fonction de leur origine ethnique, cela sous-entend que des euro-américains sont incapables de rendre une justice impartiale. Si des enseignants de couleur sont employés comme modèles sociaux pour des enfants appartenant au même groupe racial, cela veut tout simplement dire que la vertu de l'exemple ne franchit pas les barrières raciales.
Si les journaux sont contraints d'embaucher des journalistes de couleur pour satisfaire leurs lecteurs des minorités raciales. cela veut dire que les journalistes ne peuvent pas écrire pour des lecteurs en dehors de leur groupe racial. Si les noirs demandent des présentateurs de journaux télévisés et des "monsieur météo" de leur race, cela signifie qu'ils souhaitent être informés par des hommes et des femmes qui leur ressemblent.
Si l'on doit re-dessiner les circonscriptions électorales de telle sorte que les électeurs de couleur puissent élire des gens de couleur, alors les élections ne sont pas autre chose qu'un grand recensement racial. Toutes ces initiatives ne sont pas l'expression de la force du multiculturalisme, mais bien au contraire l'aveu que la "diversité" est une source débilitante de tensions, d'hostilité et de faiblesse. Si au moindre examen critique les avantages de la diversité fondent comme neige au soleil, les inconvénients se révèlent en revanche solides et nombreux. Une fois qu'une compagnie de pompiers a été diversifiée, fonctionne-t-elle mieux? Non, s'il faut en croire les interminables querelles liées aux promotions, aux quotas appliqués aux différentes races, à la prolifération d'organisations syndicales réservées à certains groupes raciaux, aux procès pour discrimination qui encombrent les tribunaux. Tout corps de police d’une certaine importance dans ce pays possède une association de policiers noirs dont le but explicite est de promouvoir les intérêts catégoriels de leurs frères de race. Dans les grandes villes il existe également des associations d'hispano-américains, d'asiatiques et même d'euro-américains.
De nombreux organismes gouvernementaux et des compagnies privées recrutent des "conseillers en diversité" dont le rôle est de gérer des salariés racialement diversifiés, Il s'agit d'une nouvelle profession qui n existait pas avant l'avènement du règne de la "diversité" et du dogme de son rôle bénéfique pour la société. La majorité de ces conseillers sue sang et eau à tenter de rapprocher au sein de l'entreprise différents groupes raciaux qui ne se comprennent pas. Mais, comme dans la majorité des cas, ces conseillers devraient intervenir sur des sujets brûlants que la direction ne souhaite pas voir abordés, leur rôle reste le plus souvent symbolique.
Maria Riefler a travaillé pour des grands groupes comme Nestlé, Walt Disney, Chrysler et Chevron. Elle aime diviser les employés en groupes afin qu'ils comprennent à quel point les "stéréotypes sont cachés au plus profond de chacun". Il s'agit en vérité d'un bien étrange atout qui requiert autant de soins de la part d'experts patentés et de spécialistes en relations interraciales. De même que recruter des policiers noirs à l'usage des quartiers noirs, la nécessité d'entraînements à la "diversité" dans les entreprises est une preuve supplémentaire qu'une force de travail diversifiée n'est pas à inscrire à l'actif d'une entreprise, mais à son passif. Il ne s'agit pourtant que de constatations auxquelles on peut aboutir par le simple usage de son bon sens: il est difficile de faire travailler ensemble des personnes dissemblables. Une enquête aux Etats-Unis a conclu que plus de la moitié des salariés avouait préférer travailler avec des personnes non seulement de la même race, mais du même sexe et du même niveau d'éducation. Probablement, ce sentiment correspond à celui d'un plus grand nombre de personnes mais on peut imaginer une certaine retenue dans les réponses aux questions des enquêteurs.
Nous vivons à une époque où les entreprises américaines sont préoccupées par les profits qu'elles peuvent dégager. Elles sont aussi soucieuses de prouver que la diversité raciale de leurs salariés leur permet de dégager des profits plus importants. D'importants travaux ont lieu dans ce but au sein des départements marketing et les résultats orientent le choix des produits, des campagnes publicitaires, des nouveaux marchés, des associations avec d'autres entreprises, etc. Si l'on avait pu trouver le plus petit argument prouvant que la "diversité" était un facteur d'accroissement des profits, les premières pages des journaux en auraient été remplies. Hélas, même en torturant les données chiffrées dans tous les sens, on ne parvient pas à attribuer à la "diversité" le moindre rôle bénéfique dans l'amélioration des résultats financiers des entreprises. En revanche, la " diversité " apporte un lot inépuisable de casse-têtes juridiques et de procès relatifs à des cas de discrimination raciale.
Au cours du mois de novembre 1996, la "diversité " a fait le bonheur de la presse. La compagnie pétrolière Texaco a accepté de payer un milliard de francs aux victimes noires du racisme de la compagnie. Les avocats ayant obtenu ce dédommagement ont reçu des dizaines d'appels par jour de personnes souhaitant déposer à leur tour une plainte pour discrimination raciale. Quelques jours plus tard, vingt-deux anciens employés de l'imprimerie R. R. Donnelley & Fils ont porté plainte et ont réclamé trois milliards de francs en dédommagement du racisme dont ils avaient été, parait-il, les victimes. Au cours du même mois de novembre, le ministère des Affaires étrangères, le bureau des tabacs et des armes à feu ont signé des accords de dédommagement portant sur des dizaines de millions de francs pour clore des poursuites intentées par des noirs se plaignant de discrimination.
De même trois noirs ont porté plainte contre un franchisé du loueur de voitures Avis, se plaignant qu'on avait refusé de leur louer un véhicule au seul prétexte qu'ils étaient noirs. Dans les jours qui ont suivi. l'entreprise Avis a annoncé qu'elle allait rompre son contrat de franchise et elle a recruté un cabinet d'avocats pour enquêter auprès des autres franchises à la recherche de comportements suspects. Chacune de ces affaires a exigé du temps, a coûté de l'argent et a causé des dommages émotionnels à d'innombrables personnes. Elles sont toutes les conséquences de la diversité raciale du corps social et je ne cite que les affaires qui ont fait la une des journaux. Il serait édifiant de recenser les organisations et institutions, tant publiques que privées aux Etats Unis et qui n'existent qu'en raison de la "diversité" de la société de ce pays et qui n'existent pas au Japon ou en Norvège: US Civil Rights Commission, Equal Employment Opportunity Commission, Office of Federal Contract Compliance, Justice Department Civil Rights Division et leur équivalents au niveau des états et des régions.
Chaque organisation gouvernementale, chaque université, chaque grande entreprise, chaque dépendance de l'armée emploie des personnes à plein temps pour s'occuper de la discrimination à rebours, des plaintes pour discrimination raciale et des autres programmes découlant de la "diversité". D'innombrables opérations spéciales, réunions internes, séances de travail concernent chaque jour les questions raciales au travail. Rien de tout cela ne serait nécessaire dans une société homogène.
Il existe des dizaines de milliers de citoyens, grassement payés pour un coût annuel se montant à des milliards de francs, qui contraignent la société à mettre en pratique les lois réglementant la diversité raciale qui est pourtant censée être un atout maître pour la société nord-américaine.
D'une manière plus précise, Tom McClintock, un ancien candidat au poste de contrôleur de l’état de Californie, estimait qu'avant le référendum populaire de 1996 abolissant toute discrimination raciale à rebours en Californie, le coût annuel de la seule gestion du programme californien de cette discrimination se situait quelque part entre 1,8 et 3,6 milliards de francs. Ces chiffres ne comprenaient pas le coût des programmes développés par les entreprises privées et les structures régionales et locales de lutte contre la discrimination, lesquels n'ont pas été affectés par le référendum de 1996.
Si la "diversité" était un atout pour la société et une force pour les entreprises, elle serait appliquée volontairement. Elle n'exigerait pas une surveillance constante ou de coûteuses poursuites judiciaires. Si la "diversité" était un apport enrichissant pour la vie quotidienne des gens, ils la rechercheraient spontanément. C'est dans la libre association des citoyens, loin des bons offices de conseillers en "diversité" et loin des lois sur les droits civiques, que les nord-américains montrent la force et l'enrichissement réciproque qui peuvent naître de la diversité. Mais cette diversité là est celle des individus différents entre eux mais qui se reconnaissent comme appartenant au même groupe ethno-culturel.

Les autres races
En règle générale, quelque soit la timide opposition que suscite la "diversité", on considère qu'il s'agit là de la réaction mesquine d'euro-américains aigris et ignorants, les fameux “petits blancs” dont se délectent les penseurs progressistes. Les autres groupes raciaux ont développé une meilleure compréhension de l'importance de l'intégration. Il s'agit à nouveau d'un pur non sens. L'immigration ayant rajouté des hispano-américains et des Asiatiques au traditionnel antagonisme entre les blancs et les noirs, les lignes de clivage se dessinent désormais dans toutes les directions.
Alors même qu'on nous répète à satiété que l'ignorance et le manque de contacts sont à la base de l'antipathie, de la xénophobie et du racisme, ce sont au contraire les groupes qui ont le plus de contacts entre eux qui se détestent le plus. C'est bien pourquoi les programmes de rapprochement entre les différents groupes raciaux antagonistes ne donnent aucun résultat comme l'avouait par inadvertance le New York Times le 18 juin 1990 sous le titre: "Les rivalités ethniques compromettent la parade pour l'harmonie". L'idée que l'hostilité disparaît par le contact est devenue néanmoins un des fondements de la religion de la "diversité".
Pourtant, George Orwell écrivait à ce sujet dans son livre “England Your England”: "Durant la Grande Guerre, la classe ouvrière britannique a été en contact avec plus d'étrangers qu'à aucun autre moment de son histoire. Le seul résultat en fut une xénophobie exacerbée à l'encontre de tous les européens à l'exception des Allemands dont ils admiraient le courage."
Aux Etats-Unis, il n'est guère besoin de se rendre au delà des mers pour voir des étrangers. Quel en est le constat? A Chicago, Los Angeles, Détroit et New York, les noirs ont tenté de chasser les épiciers coréens de leurs quartiers. Pour obtenir ce résultat, il ont incendié les boutiques, attaqué les employés et organisé des boycotts contre "ces gens qui ne nous ressemblent pas”. A Los Angeles, les relations entre noirs et Coréens étaient si dégradées qu' en 1986 une association commune fut fondée afin de trouver les moyens de réduire les tensions entre les deux communautés. Cette association fut dissoute en 1992 en raison de l’absence totale de résultats.
On a observé que plus les Coréens et les noirs se parlaient, plus ils se détestaient.
Il existe désormais des quartiers et des écoles totalement dominés par les noirs et les Hispaniques où les affrontements raciaux n'impliquent plus aucun Euro-Américain. Voici quelques exemples. Le Lycée Locke à Los Angeles est pour moitié noir et hispanique. En février 1996, cinquante policiers sont intervenus pour arrêter une bataille rangée mobilisant des centaines d'étudiants. La police dut rester après la bataille pour éviter que les lycéens n'en viennent à nouveau aux mains. Quel événement avait-il pu déclencher la bataille? Le simple fait que les célébrations du "Mois de l'histoire noire" non seulement n'enrichissaient pas les Hispaniques mais bien au contraire suscitaient leur agressivité.
Des incidents similaires ont eu lieu au lycée de North Hollywood à Los Angeles. Il fallut à nouveau l'intervention de forces de police en tenue de combat anti-émeute pour calmer une mêlée de deux à sept cents étudiants noirs et hispaniques. La bagarre avait été déclenchée par le choix de la musique qui serait jouée lors de la fête de l'école. Le lycée Norman Thomas High School est situé à l'intersection de la 33e rue et de Park Avenue à New York, en plein Manhattan. En 1992, la tension entre les deux groupes raciaux déboucha sur une bagarre générale mobilisant filles et garçons. Un adolescent de 16 ans a expliqué: "La seule chose qui comptait, c'était la couleur de la peau”. Instruit par l'expérience, le bureau scolaire de la ville possède une unité de gardes que l'on peut mobiliser d'urgence pour ce type d'incident. Le Lycée Farragut à Chicago compte deux tiers d'Hispaniques et un tiers de noirs. Récemment, la tension entre les groupes est devenue telle que le proviseur a pu parler de "polarisation totale ". Il est devenu dangereux de laisser les étudiants se mélanger sans la surveillance de la police. Au plus fort des tensions, les activités extra-scolaires ont été arrêtées durant trente jours et le championnat de football fut joué sans la présence d'un seul lycéen dans les tribunes de peur qu'ils ne s'attaquent les uns les autres. Au Texas, à Huntsville, les étudiants hispaniques disent qu'ils ont besoin de s'armer pour faire face aux agressions des noirs violents. A Dallas, les parents hispaniques disent que leurs enfants sont effrayés d'aller à l'école par peur des attaques des noirs.
Ce type de conflits interraciaux ne sont en général traités que par la presse locale. Il est fort probable que ces phénomènes soient très répandus dans tout le pays. Ils seront à l'avenir plus nombreux et plus sanglants.
Au sein des prisons règne la même animosité. Les gardiens isolent constamment certaines unités car si les noirs et les Hispaniques se retrouvent au contact les uns des autres, ils pourrait s'entre-tuer. La vie en prison étant beaucoup plus intégrée que dans le reste de la société, il est significatif que la ségrégation selon les groupes raciaux soit une des exigences les plus couramment formulées par les prisonniers de toutes races.
Les bagarres dans les lycées et les émeutes dans les prisons ne sont rien en comparaison des occasions durant lesquelles la "diversité" tourne au cauchemar. A l'été 1967, 83 personnes ont été tuées et 2000 autres ont été blessées lorsque les noirs ont déclenché des émeutes dans tout le pays. La Garde nationale dut intervenir pour arrêter la violence à Tampa, Atlanta, Cincinnati, Newark et Detroit. Les émeutes raciales n'appartiennent pas au passé. La plus violente de toutes eut lieu en 1992 à Los Angeles quand les émeutiers ont tué 58 personnes et blessé plus de 2300 autres. Ils ont aussi brûlé 5300 bâtiments et provoqué plus de cinq milliards de francs de dommages. Des émeutes moins importantes et toutes dirigées contre les euro-américains eurent lieu à Atlanta, Las Vegas, New York, Richmond et San Jose. Les émeutes de Los Angeles ont apporté la preuve que les hispaniques peuvent se conduire aussi mal que les noirs. Bien que le prétexte de ces événements était la condamnation du criminel noir Rodney King, plus de la moitié des 15000 personnes arrêtées était hispanique. Sous la bannière de la "diversité", les hispaniques se déchirent entre eux. A Miami, les Portoricains ont manifesté contre les Cubains qu'ils accusent de monopoliser le pouvoir municipal et toutes les bonnes places. "Les Cubains ont tout et nous n'avons rien du tout" expliquait un émeutier pour motiver son attitude. Plus grande est la "diversité", pire est la violence. La "diversité" qui est sensée enrichir les Etats-Unis se révèle de toute évidence une catastrophe. On a brassé beaucoup d'air sur les raisons qui poussent les noirs à l'émeute. L'explication officielle remonte au rapport de la Commission Kerner en 1968: "La raison principale réside dans l'attitude raciste des euro-américains à l'égard des noirs." Quoi que l'on puisse penser aujourd'hui de cette affirmation, il est une conclusion que nul ne peut contester: les émeutes raciales ne se produisent que dans des situations de diversité raciale. Il suffit de jeter un coup d'œil à n'importe quel journal pour se convaincre que la "diversité" est une source de problèmes là où elle se présente. Les principaux bains de sang de notre époque, que ce soit en Irlande du nord, en Yougoslavie, au Moyen Orient ou au Burundi sont le résultat inévitable de la "diversité ".En d'autres termes, lorsque deux peuples différents cherchent à vivre sur le même territoire, la guerre est inévitable à court, moyen ou long terme. Très souvent le motif de la discorde n'est même pas racial. Il peut être aussi bien religieux, linguistique ou ethnique.
De temps en temps, les euro-américains se sont battus entre eux pour ces raisons. Néanmoins, la race est la plus profonde et la plus constante source d'antipathie. A l'inverse de la langue ou de la religion, la race ne peut pas changer. Les différences entre les hommes qui sont inscrites au plus profond de leur corps resteront toujours un motif de friction.

La "diversité" : deux poids, deux mesures
Les contraintes de la "diversité" ne pèsent que sur les euro-américains. Dès qu'ils se réunissent, les accusations de racisme ne tardent pas à se manifester. De l'autre côté de la barrière, il serait fastidieux d'énumérer tous les rassemblement, qui excluent les euro-américains sans que nul n'en prenne ombrage.
Le lycée Shule Mandela à East Palo Alto en Californie est à peine plus radical que ses semblables lorsqu'il fait hurler à ses étudiants chaque matin au rassemblement: "Penser en noir, agir en noir, parler en noir, acheter en noir, prier en noir, aimer en noir et vivre en noir". La même différence de traitement entre races se retrouve dans les politiques nationales à l'égard de l'immigration. Ce ne sont que les nations "européennes" comme le Canada, les Etats-Unis, l’Australie ou la Nouvelle Zélande qui ont permis l'immigration à grande échelle de populations de couleur.
En revanche, les autres nations veillent à maintenir leur homogénéité raciale et culturelle et la grande majorité interdisent de fait toute immigration. Il va sans dire que certaines nations n'attirent personne.
On ne se bouscule pas aux portes de la Bolivie ou de l'Ouganda. Il suffit néanmoins qu'un pays du tiers monde devienne un peu plus prospère que ses voisins pour qu'il veille à maintenir ses étrangers à la porte. La Malaisie informe qu'à l'avenir, dans le cas des récidivistes, elle fouettera les étrangers en situation irrégulière, leurs employeurs et les passeurs. La Côte d'ivoire, qui est bien mieux gérée que la plupart de ses voisins, a démarré une campagne pour expulser tous les résidents étrangers qui ne peuvent prouver que leurs grands parents sont nés sur place. Des nations qui n'attirent aucun immigrant affichent leur mépris de la "diversité" en expulsant les quelques étrangers arrivés sur leur territoire dans le passé. Lorsque Idi Amin est parvenu au pouvoir en 1971 en Ouganda, il n'a pas tardé à expulser les 70 à 80 000 Indiens et Pakistanais que les Britanniques avaient importé. Les noirs de l'Ouganda, qui n'aimaient pas avoir à faire avec des personnes différentes, étaient ravis.
Alors que des centaines de milliers de pauvres Mexicains entrent illégalement chaque année aux Etats-Unis, le Mexique ne s'embarrasse pas pour chasser de manière expéditive tous les immigrants qui se présentent à sa frontière sud en provenance des petits pays de l'Amérique centrale. Même les citoyens américains ont du mal à obtenir le droit de s'installer au Mexique. Les Mexicains n'ont nullement l'envie d'importer la "diversité" qui est si à la mode chez leur voisin du nord.
Seuls les blancs radotent sur les bienfaits de la "diversité". Un de ces avantages est si douteux qu'il est difficile de croire qu'il puisse être proposé par des personnes capables d'entendement. On ne craint pas de nous affirmer que dans la mesure où les européens ne sont qu'une minorité dans le monde (environ 15 % de la population de la planète), ils devraient tenir à cœur de s'adapter à une situation qui est déjà celle de la terre dans son ensemble.
Bien sûr, sur un plan mondial, chaque groupe humain est une minorité. Les Hispaniques ou les noirs sont infiniment minoritaires. Cela veut-il dire que les Mexicains ou les Nigérians eux aussi devraient devenir des minorités dans leur propre pays? A l'instar de beaucoup de ce que l'on raconte sur la question raciale, cette idée s écroule dès qu'on cherche à l'appliquer à d'autres peuples que les européens. Dans la mesure où les européens sont le seul peuple à avoir jamais tenté de croire que la question raciale n'a pas d'importance, il n'est donc pas étonnant qu'ils soient les seuls à dire qu'il puisse être raciste de chercher à préserver son peuple et sa culture. Ayant décidé de nier les découvertes de la biologie, les traditions de leurs ancêtres et les évidences fournies par leurs sens, ils se sont privés de toute base argumentaire et morale pour garder les étrangers à la porte. Ils ont mis en marche des forces qui vont peut-être les détruire.
Raymond Hall, professeur de biologie à l'université du Kansas est l'auteur d'un ouvrage qui fait référence dans le domaine de la vie animale en Amérique du nord: “Mamals of North-America”.
Il présente comme une loi de la nature que "deux sous-espèces de la même espèce ne partagent pas le même territoire." Les races humaines sont biologiquement des sous-espèces et le professeur Hall écrit de manière explicite que cette loi s'applique aux humains également tout comme aux autres mammifères: "Imaginer qu'une sous-espèce de l'homme puisse vivre en bonne intelligence sur un même territoire et sur le long terme avec une autre n'est rien d'autre qu'une spéculation et ne peut conduire qu'à la destruction d'une des deux sous-espèces”.
La nature humaine fait partie de la nature animale. La diversité raciale, que seuls les européens promeuvent pour des raisons d'ordre idéologique, et toujours à leurs dépends, n'est rien d'autre qu'une sorte de désarmement unilatéral dans un monde dangereux. Si les migrations actuelles se poursuivent et si les idées majoritaires des européens ne changent pas. il ne fait aucun doute au sujet de l'identité de la sous-espèce qui disparaîtra comme le prédit avec autant d'assurance le professeur Hall.


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