La petite histoire du Stade Brestois retiendra que les zubés furent dissout par le sosie d'Eric Zemmour.
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Notre ami Pak’ absent pour la reprise !!! Et oui , il gave les oies dans le Gers C’est plutôt un Gueulard qu’un UB , mais solidaire du mouvement anti Sous-Préfet.

Pak était bien là aujourd'hui.

« On a trouvé un terrain d’entente avec les Ultras 90 !, salue Jean-Philippe Setbon, sous-préfet de Brest (Finistère), avec satisfaction, ce mardi 19 août 2025. Ce matin, la situation a été très différente de celle d’il y a un mois et demi. J’ai senti les Ultras 90 très volontaires et désireux de passer à autre chose et d’avancer. »

Ce mardi matin a eu lieu une nouvelle réunion entre les Ultras brestois 90 et Jean-Philippe Setbon, le sous-préfet de Brest. Celle de la dernière chance sans doute. Cette rencontre a été sollicitée par le président du Stade Brestois. Avec l’accord des Ultras. Des représentants du club. ont aussi participé à la réunion. Car la menace de dissolution pesait plus...

« On a trouvé un terrain d’entente avec les Ultras 90 !, salue Jean-Philippe Setbon, sous-préfet de Brest (Finistère), avec satisfaction, ce mardi 19 août 2025. Ce matin, la situation a été très différente de celle d’il y a un mois et demi. J’ai senti les Ultras 90 très volontaires et désireux de passer à autre chose et d’avancer. »

Ce mardi matin a eu lieu une nouvelle réunion entre les Ultras brestois 90 et Jean-Philippe Setbon, le sous-préfet de Brest. Celle de la dernière chance sans doute. Cette rencontre a été sollicitée par le président du Stade Brestois. Avec l’accord des Ultras. Des représentants du club. ont aussi participé à la réunion. Car la menace de dissolution pesait plus lourdement que jamais sur la tête de ce groupe de supporters.

Pour rappel, depuis le 4 juin, deux groupes de supporters ultras brestois, les Celtic Ultras 2001 et les Ultras brestois 90, sont dans la ligne de mire du sous-préfet. En cause : des problèmes de violence récurrents, à « quasiment » tous les matches de la saison passée.

La ligne rouge a été franchie le 20 avril, en marge du match entre Brest et Lens, avec des incidents entre les supporters des deux équipes. La voie express 165 a été bloquée par des Brestois armés de barre de fer, décidés à découdre avec leurs homologues lensois. Vingt-deux supporters brestois ont été interpellés. Quinze comparaîtront devant le tribunal.

Début juillet, le sous-préfet a rencontré les deux groupes. Quinze jours plus tard, à la date de l’ultimatum, les Celtic ont accepté l’autodissolution et la recréation de leur association avec d’autres statuts, « remodelés avec le concours des autorités mais tout en gardant le même nom et les mêmes tifos ».

Mais les Ultras 90, qui estimaient avoir peu de choses à se reprocher, étaient jusqu’à présent décidés à aller défendre leur cause devant le ministère de l’Intérieur. Sauf qu’ils risquent une radiation définitive, comme l’a exprimé le sous-préfet, dans notre édition du 15 août : « Si vous êtes dissous par décret ministériel, vous n’avez plus le droit de vous reconstituer en association d’une manière ou d’une autre. C’est très sévère. […] Il y a des peines très lourdes, jusqu’à sept ans d’emprisonnement et des amendes très élevées. »

La situation devenait urgente. La nouvelle saison de Ligue 1 a repris dimanche 17 août, avec un match nul entre le Stade Brestois et Lille, à Le-Blé. Le sous-préfet, revenu de vacances très déterminé, a pris un arrêt interdisant la vente et la consommation d’alcool à proximité du stade. Les Ultras 90 ont fait grève quelques minutes, refusant d’encourager leur équipe.
Des engagements contre la violence

Mais la réunion de ce mardi a permis de dénouer la situation. Le groupe va-t-il s’autodissoudre comme les Celtic ? « C’est très similaire de ce qu’on a mis en place avec les Celtic. Mais il semble que le terme d’autodissolution créé un problème aux Ultras 90. Mais cela m’importe peu, explique le sous-préfet. L’essentiel est qu’ils vont reconstituer quelque chose avec des statuts clairs, une charte et des engagements sur la violence. Ils pourront aussi garder leur nom et leurs emblèmes, comme les Celtic. »
Nous avons également sollicité les Ultras 90, mais ils ne souhaitent pas s’exprimer pour l’instant. Une communication collective devrait avoir lieu vers la mi-septembre, après une assemblée générale des Ultras 90.

Pour le sous-préfet : « Tant mieux, si tout le monde veut repartir et y mettre du sien ! Avançons et passons à autre chose ! »