PNL !
Au milieu des années 80, peut être qu'à l'époque les français étaient moqués, mais sans plus. Au contraire, c'était plus nous qui nous moquions de tout le monde avec les blagues sur les Belges, sur les Bretons, etc...
Puis courant des années 90, un discours de dénigrement du système français et de notre façon de vivre a commencé à se faire plus pesant, dans les médias.
Puis début des années 2000, là la bride était lâchée, et par répétition dans toutes les bouches des communicants ou presque (politicards et sous-fifres), nous étions devenus un pays qu'il fallait réformer, surtout en regardant vers les pays anglo-saxons. Notre système n'était plus viable pour tel ou tel argument politique du moment. Le soft power anglo-saxon jouait à fond, les productions françaises mises en avant étaient celles qui reprenaient les questionnements et remises en question, imposées par la transformation de notre société et de l'état dans son fondement.
Pour ce qui est du financement de la recherche, là aussi c'est le choix de gestion qui prévaut. Tout comme pour les problèmes mettant en péril la sécurité des Français, c'est la gestion qui prime, pas la justice en soi.
Dans le cadre de la gestion d'entreprise, l'un des postes d'investissements les plus révélateurs, c'est le budget Recherche et Développement. C'est l'un des 1ers postes qui est supprimé lorsqu'une entreprise va mal.
Dans le cadre de la gestion des administrations, provoquer une telle différence de rémunérations des chercheurs entre le public et le privé, c'est un choix de gestion, qui pourrait être tout autre. Politiser un institut de recherche, c'est un choix de gestion aussi. Imposer des acteurs privés sur certains marchés, alors que la France est en capacité de concurrencer, et donc de générer des revenus nationaux plutôt que des dépenses abyssales, c'est un choix de gestion aussi.
Pour moi rien d'étonnant à ce que des choix vestimentaires surprenants ou paradoxaux s'observent, parmi les étudiants. C'est entre autre la conséquence de dizaines d'années de matraquage médiatique pour nous affaiblir mentalement, et aussi la conséquence des choix de gestion au plus haut niveau de l'état.
J'ajouterai qu'à partir du moment où des universités sont financées par des acteurs privés, qui ensuite recruteront les éléments qu'ils auront choisi, pas étonnante cette fuite des cerveaux et cette disparition progressive de vouloir travailler pour le bien commun français. D'autant plus quand les choix de gestion ont exclu trop de bons éléments des entreprises de services publics par exemple, afin de conserver les plus serviles et malléables, ou les plus contraints.
Le discours du patronat c'est une chose, mais il y a des syndicats qui se sont bien mouillé pour la transformation (mortifère) de notre société. Durant les années 90, les syndicats imagés par la PNL comme rouges, ont été d'ardents défenseurs des choix de gestion qui ont supprimé à la France sa souveraineté politique, énergétique, militaire. Ça aussi c'était paradoxal, on nous présentait des réformes en se calquant sensément sur le capitalisme anglo-saxon, on nous parlait de libéralisme économique et de compétitivité internationale. Pour moi il y a escroquerie intellectuelle, le vrai libéralisme exècre l'avalanche de normes et d'inepties technocratiques, dont nous sommes les témoins. Celles que nous subissons, malgré nous.
A présent nous observons un monde anarchique pour ceux qui touchent aux paradis fiscaux et à l'évasion fiscale, et pour les hors la loi. L'anéantissement du droit international était identifié comme objectif dès les années 90, à l'initiative des anglo saxons. Ce qu'ils appelaient faussement libéralisme économique c'était cela. Le droit de tout faire pour les "Banksters", et pour les populations des droits et des libertés en chute libre, provoquée par les "False Flags", successifs, dramatiques. Et en prime, nous constatons une forme de communisme totalitaire 2.2, pour ce qui est de la façon de faire et du chemin que l'on nous oblige à "suivre", en ce qui concerne les aspects plus sociétaux.
A mon avis.
Ps : J'ai beau tout faire pour ne pas subir la manipulation des médias, je vois quand même des contenus passer, et d'autres informations capitales êtres mises au silence. Le "débat" sur les sujets politiques, la façon dont ils sont amenés et traités, c'est EXTRÊMEMENT BOURRIN. J'entends aussi beaucoup de mots anglais apparaitre dans les phrases. Des champs lexicaux modifiés, qui marquent des catégories de gens ; Donc cela se voit qui subit telle influence et par quel biais. Cela écarte aussi ceux qui continuent à parler français, ils ne sont pas dans les mêmes canaux ou réseaux, ils ne comprennent plus la moitié des phrases. J'aime bien échanger en Anglais, mais quand on nous martèle que la France subit l"influence néfaste d'un pays, la modification de la langue française dit plutôt que l'influence vient d'ailleurs.
Ps : Ce qu'il reste du pays compte tellement d'histoires sordides et de laisser faire, que dès qu'il y a un sujet trop brulant ou à taire absolument, comme par hasard, ou nous sort un psychopathe du panier, et ça fait durer l'affaire le plus possible. Surtout en prenant à partie l'opinion des français pour chercher à opposer, à diviser, encore et toujours. C'est navrant d'en plus savoir que les relais de ces semeurs de chaos, sont financés en grande partie, soit par l'argent du contribuable, soit par celui des entités étrangères qui s'appliquent à lutter contre nos valeurs, et à nous endetter toujours plus dans un but d'asservissement international.
Ps : Je lis que les 2 candidats lors de l'élection présidentielle en Roumanie, étaient soit pro Ue, soit d'extrême droite. Cela n'est pas écrit pro sortie de l'union européenne, c'est écrit d'extrême droite. Mais en tout cas, le vrai clivage apparait, pro union européenne ou pro retour à une gestion plus souveraine des pays. D'autant que ceux qui ont voté à 45% pour une constitution européenne ayant le dessus sur la constitution française, n'ont pas voté pour ce que c'est devenu. Avec une personne unique qui signe des contrats colossaux (et sans financement donc création monétaire), sans en avoir l'autorité ni la légitimité, et qui refuse de se présenter devant la justice pour éclaircir et ne pas laisser la place au doute.
Pendant un moment ils avaient réussi à ce que des français aient tellement peu de considération pour la justice en France, que ces mêmes personnes se réjouissaient des décisions de justice rendues par la justice européenne. A présent je pressens que cela va être compliqué de continuer à croire en la justice européenne, plus que celle en France. Nous en sommes au stade où les méthodes de la présidente de la commission européenne, se propagent et donnent l'exemple. Je lis qu'un milliardaire français est dans le viseur de la presse (subventionnée et achetée avant édition par ailleurs), car il ne s'est pas présenté devant une commission pour s'expliquer. Mais Kohler c'est quoi qu'il a fait ? Ben il a fait une Van Der Leyen.
_________________ Je pense donc je suis, même si je sais que je ne sais pas.
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