[Brest,ville de psychopathes ?]

bert

Bon je mets ça ici. La flemme de chercher le bon endroit.
Brest. Un homme gagne 40.000€ à un jeu de grattage

Un homme a remporté samedi la somme de 40 000 € au jeu de grattage "VEGAS". Il a acheté son ticket à Brest, rue de Lyon, au "Lac Celtique" chez Monsieur Christian Vidoni. Cet heureux gagnant s'est rendu au centre de paiement de la Française des jeux à Plougastel-Daoulas ce lundi matin. Il s'agit du plus "Gros Lot" à ce jeu. Il n'a pas souhaité communiquer plus d'informations sur son identité.

jeanlpec

bert a écrit:

lcdsound a écrit:

Ce qui m'intéresse, c'est l'oeil de l'artiste, la technique car le support, Brest, est quand même assez dégueulasse architecturalement.

oui en effet, entièrement d'accord avec toi. Voici un exemple. Insolite... pourtant lieu très connu.

C'est subjectif mais franchement, elle est laide cette photo.

al'ouestbrest

subjectif .... euh !!! à ce niveau là ça ne l'est plus !

seul bénéficiaire SUPER U

éventuellement la photo pourrait servir à monter un dossier d'appel d'offres pour les peintres en bâtiment du coin

Commissaire Aryen

bert a écrit:

Bon je mets ça ici. La flemme de chercher le bon endroit.
Brest. Un homme gagne 40.000€ à un jeu de grattage

Le genre de psychopathes qui m'est fort sympathique

Tiflo

pour revenir là-dessus.
ce gars-là voulait juste faire de la monnaie pour mettre dans le parcmètre !

lucientouchearien

jorgthescot a écrit:

Je suis mitigé face à ce genre de photos. On ne sait pas si c'est de la photo en tant que telle ou alors si la photo sert juste de base pour photoshoper par la suite. Celle du stade fait plus penser à du travail sur ordi qu'à un véritable oeil.

Mais ca reste vraiment bien.

Ce n est pas du photoshop , cette technique photo est du HDR ( High Dynamic Range ) pour faire simple , tu as un boitier sur trepied , tu prends trois photos a differentes expositions : une surpexposee , une sous exposee , la troisieme exposee juste ...ensuite tu fusionnes ces 3 photos et ca te donne un truc comme ca ....( ca peut se faire aussi avec bien plus de 3 photos )

jorgthescot

Ceci : http://www.brest.maville.com/actu/actud ... 8_actu.Htm

a pour conséquence plus de tram à ponta et 2 bus caillassés.

VDR

Comme d'hab' quoi :lol:

VDR

http://www.brest.maville.com/actu/actud ... 7_actu.Htm

Il est beau quand même le tram qui était censé "ouvrir" le "quartier de l'Europe" au reste de la ville. On ne peut pas faire mieux comme stigmatisation. Enfin bon, on peut comprendre Bibus par contre.

Kreizmar

Nous vivons dans un pays de droit.......................... :lol:

DSU19

On peut changer le titre en "Brest, ville africaine?" ?

VDR

Quand il n'y en a plus, il y en a encore.....

Citation:

Brest. Le contrôle routier se termine en course-poursuite

Ce matin, entre 5h30 et 8h30, une opération de prévention a été mise en place sur la commune de Guipavas, non-loin de la plage du Moulin-Blanc. Une dizaine de gendarmes postés au niveau du carrefour giratoire de Palaren ont ainsi procédé à des contrôles, dont sept se sont avérés positifs. Quatre ont donné lieu à des contraventions et trois cas délictuels ont entraîné un retrait immédiat du permis de conduire. Un seul événement notable s'est déroulé durant la dernière heure de ce dispositif. "Un véhicule a refusé de se soumettre au contrôle routier et a voulu prendre la fuite", explique Jean-Daniel Montet-Jourdran, directeur de cabinet du préfet du Finistère, qui était sur place toute la matinée. "L'un des gendarmes présents a immédiatement déployé une herse, qui a eu pour effet de crever l'un des pneus de la voiture". Voiture qui a continué sa route, du Moulin-Blanc jusqu'à l'entrée de Pontanézen, où elle a fait un tonneau.

Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/brest-le-con ... 339712.php

DSU19

On peut déjà prévoir la teneur de l'article dans la chronique judiciaire:
"Le jeune, désœuvré, en recherche active d'un emploi, s'est vu prescrire un stage d'équitation et de kayak dans l'Ardèche afin de reprendre pied loin du tumulte brestois. Les autres personnes contrôlées positives ont été condamnées à 6 mois fermes et immédiatement conduit en maison d'arrêt."

Commissaire Aryen

http://www.letelegramme.fr/finistere/brest/rue-jean-jaures-on-se-sent-en-danger-26-09-2014-10358795.php

nsultes, agressions, vols, coups de feu... De Saint-Martin à l'Octroi, en passant par le Pilier- Rouge, commerçants et riverains n'en peuvent plus. Depuis trois ans, ils constatent une recrudescence de la violence et se sentent aujourd'hui directement menacés. Ils viennent de créer un collectif et en appellent aux autorités pour que leur quartier retrouve une certaine sérénité. « C'est mon grand-père qui a ouvert la boutique en 1956. J'ai toujours vécu ici. C'est chez moi, je ne partirai pas, je ne lâcherai pas ». Par peur des représailles, cette commerçante préfère garder l'anonymat. Elle a plusieurs fois appelé le 17 (police secours), déposé plainte, fait des mains courantes... Il y a un an, on lui a volé sa voiture. Cet été, un « gros bras » a menacé de « faire péter son magasin », parce qu'elle avait osé lui demander de ne pas se garer devant sa vitrine. Pas de portes dégradées, seringues à même le trottoir, mares de sang qu'on découvre, au petit matin, comme la marque indélébile d'une violence qui semble bien difficile à endiguer. Les photos accumulées sont éloquentes. « Un quartier gangrené » « C'était un vieux quartier où il faisait bon vivre. Il est aujourd'hui gangrené ». Et les témoignages sont nombreux. Spontanément, riverains et commerçants ont décidé de se mobiliser et ont lancé une pétition. « On a sans doute déjà trop attendu. Ce n'est plus possible. Tous les jours, on se dit que c'est de pire en pire... Il faut vraiment que ça s'arrête ». Le bouche-à-oreille ayant bien fonctionné, ils étaient près de 40, réunis hier matin, pour mettre sur pied un vrai collectif. Loin d'eux l'idée de polémiquer sur la responsabilité de la municipalité ou de la police. « On souhaite juste être écouté. On se sent menacé. On est angoissé. Et on voudrait que tous les acteurs concernés se mettent autour d'une table pour trouver des solutions ». Ils ont ainsi adressé un courrier au maire, au procureur, au commissaire central, au préfet et au président de la CCI ». Ils en sont tous convaincus : « Derrière ces violences, il y a des histoires de stupéfiants ». Plusieurs évoquent un défilé de Ferrari et de grosses berlines. D'autres s'étonnent de voir des va-et-vient dans des commerces censés être fermés ». « Ça va mal finir » Selon eux, les choses auraient commencé à se dégrader, il y a environ trois ans. Et ne feraient, depuis, que monter en puissance, tant par la quantité que par la gravité des faits commis. « Si ça continue, ça va mal finir »... Angoissés, certains ne cachent pas qu'ils ont commencé à prendre des mesures. « J'ai dissimulé plusieurs bombes lacrymogènes dans mon commerce et j'ai toujours un boîtier sur moi : s'il se passe quoi que ce soit, j'appuie et ça appelle automatiquement un voisin »... Et les langues se délient. « Début juillet, deux coups de feu ont été tirés à hauteur du numéro 128. On ne sait pas ce qui s'est passé ». Et puis, « il y a eu cette bagarre générale, début août, entre deux bandes, à coups de battes de baseball et de couteaux. Un homme a fini à l'hôpital ». Samedi, « une rixe a dégénéré. Un homme a été blessé à coups de cutter ». Sans parler de ce commerçant qui dit « s'être retrouvé avec une lame sous le cou pour un paquet de cigarettes ». Et tout ça en plein jour, à la vue de tous. Le malaise est palpable : « Ils n'ont peur de rien. On se sent en danger. Certains individus font ici la loi. Ils nous narguent, nous toisent, crachent par terre... ». Nombreux sont ceux qui n'osent plus sortir le soir. « J'ai vécu à Paris, à Lyon, à Bordeaux... Je n'ai jamais connu ça », se désole un restaurateur qui clame à qui veut bien l'entendre « qu'il y a urgence à agir ».

© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/finistere/br ... 358795.php

Tramontane

Ce sont des ragots ! Il fait bon vivre à Brest, et à rue Jean-Jau' principalement.

La preuve, je n'ai pas peur pour mes enfants. À partir du moment où ils prennent avec eux leur canif reçu par leur(s) mère(s) à Noël, y'a pas de raisons de faire dans son futal.

Après, forcément, si on se ballade à poil, avec sa bite en guise de couteau, faut pas trouver étonnant de se faire légèrement emmerder.

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