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L’objectif de la LFP, qui n’a jamais varié, reste d’obtenir au global 900 millions d’euros. Une chose est sûre: avec ce refroidissement dans les échanges avec DAZN, et cette option unique envisagée avec beIN, les discussions en coulisses vont forcément concerner Canal+, diffuseur exclusif de beIN Sports. Les deux entités pourraient approfondir leur discussion afin d’envisager une issue favorable pour toutes les parties.
Mais du côté de Canal+, les choses sont claires: aucun contact n’est envisagé directement avec la LFP qui de son côté acceptera une discussion si elle était sollicitée.
De son côté, Amazon patiente toujours en attendant l'identité de celui qui remportera la majorité des affiches. La plateforme américaine pourrait ne s'adjuger qu'un seul match entre 80 et 100 millions d'euros.

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Depuis, les dirigeants de beIN Sports, encouragés par les différents pouvoirs politiques et l'activisme de Labrune, le président de la LFP, cherchent une formule pour répondre aux attentes, qui tournent autour de 700 millions d'euros annuels pour les droits domestiques de la L1 (et autour de 900 millions par an en y ajoutant les droits internationaux). Pour formuler une offre concrète, beIN doit d'abord discuter avec Canal+, qui lui règle aujourd'hui 250 millions d'euros par saison pour gérer sa distribution. L'idée est d'obtenir des garanties suffisantes pour se lancer sans trop perdre de plumes.

Mais une autre option est possible : celle de voir Canal+ prendre éventuellement un ou deux matches, à un tarif raisonnable, en complément de beIN. Encore hypothétique, d'autant que la chaîne cryptée a tout intérêt à jouer la montre, cette solution offrirait un total retournement de situation, puisque Canal+ répète depuis l'été 2021 ne plus être intéressée par la L1. Mais personne ne pensait non plus que beIN, qui a très largement revu à la baisse ses investissements dans les droits sportifs, serait attendu comme le sauveur...
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Avez-vous déjà été sollicités vu la réussite actuelle ?

On a une liste d’attente de partenaires, essentiellement locaux, qui aimeraient bien faire un bout de chemin avec nous. Mais on va d’abord s’appuyer sur les partenaires existants et faire un point avec eux pour la saison prochaine. Sur des niveaux de partenariats très importants, nous avons effectivement eu des contacts, notamment avec des régies nationales. On sait qu’on peut être un bon deal à trouver pour eux parce qu’on bénéficie d’une sacrée exposition sans coûter aussi cher que les gros clubs français.

Et… ?
On pourrait être séduits, parce que malgré tout, il y a un club à faire vivre et on essaie de faire grimper nos revenus commerciaux. Si quelqu’un vient mettre dix fois le tarif, on ira discuter avec nos partenaires habituels. Mais nous n’avons pas envie de tout révolutionner. Il faut se souvenir d’où l’on vient parce qu’il y aura des jours plus compliqués à venir. Sur les onze partenaires principaux du club (NDLR : les quatre majeurs et les sept officiels), on espère bien rester avec eux. Pour nous, c’est clair, il y a un côté familial, humain à Brest, une relation gagnant-gagnant qu’on veut faire perdurer !

C’est lamentable ce report au dimanche , perso j’avais ma place je samedi soir et aussi l’hôtel et le train de plus je dois bosser lundi matin à paris … super le respect du public …

En plus pour la plupart une grosse fiesta de foutue, pas pareil un dimanche soir…