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Citation:
Le problème ? La France est devenue pauvre et sa population âgée. Elle a déjà perdu son rang autrefois envié entre les nations. Elle est dans l’état d’esprit d’un ancien riche qui n’a plus les moyens de ses exigences. D’une ancienne belle qui n’attire plus. Amère.
PIB par tête, productivité, temps de travail, niveau de ses élèves, etc. : nous sommes derrière. Et on s’en fiche.
C’est la France cancre et fière de l’être de Ducobu.
La France n’a plus les moyens du système de protection sociale le plus généreux du monde. Ses comptes publics sont exsangues. Ses administrations lourdes et inefficaces. Ceux qui nous prêtent (6 milliards chaque semaine, pour payer nos dépenses de fonctionnement), commencent à froncer le sourcil. La dette coûte plus cher. Quand ils seront vraiment inquiets, ils arrêteront tout simplement de prêter. Ou bien dicteront leurs conditions. Tout débiteur est dépendant de ses créanciers. Mais plus ils nous regarderont avec sévérité, plus nous les haïrons.
C’est la France Tatie Danielle.
Le récit qui s’est imposé chez nous est celui d’une société où chacun peut vivre aux dépens des efforts des autres. Toute richesse est illégitime. Toute élite une escroquerie. Le travail est une valeur réactionnaire. L’excellence est inégalitaire, dont haïe. Le progrès est vu avec méfiance. La science un objet de moquerie. Nous jouissons d’une supériorité morale irréfragable face à ces peuples vivant dans les ténèbres car ils n’ont pas été atteints par les lumières de notre glorieuses exception. Nous, on peut travailler moins que les autres, taxer plus que les autres, réglementer plus que les autres, parce qu’on est Français.
C’est la France OSS 117.
On pourra bien grappiller encore un peu de taxes en pensant que c’est la solution (« il suffit de taxer les riches »), mais rapidement il n’y aura plus rien ni personne à taxer.
Nous serons quelque chose entre le Liban sans les cèdres et le Venezuela sans le pétrole. Le coq sur un fumier.
PIB par tête, productivité, temps de travail, niveau de ses élèves, etc. : nous sommes derrière. Et on s’en fiche.
C’est la France cancre et fière de l’être de Ducobu.
La France n’a plus les moyens du système de protection sociale le plus généreux du monde. Ses comptes publics sont exsangues. Ses administrations lourdes et inefficaces. Ceux qui nous prêtent (6 milliards chaque semaine, pour payer nos dépenses de fonctionnement), commencent à froncer le sourcil. La dette coûte plus cher. Quand ils seront vraiment inquiets, ils arrêteront tout simplement de prêter. Ou bien dicteront leurs conditions. Tout débiteur est dépendant de ses créanciers. Mais plus ils nous regarderont avec sévérité, plus nous les haïrons.
C’est la France Tatie Danielle.
Le récit qui s’est imposé chez nous est celui d’une société où chacun peut vivre aux dépens des efforts des autres. Toute richesse est illégitime. Toute élite une escroquerie. Le travail est une valeur réactionnaire. L’excellence est inégalitaire, dont haïe. Le progrès est vu avec méfiance. La science un objet de moquerie. Nous jouissons d’une supériorité morale irréfragable face à ces peuples vivant dans les ténèbres car ils n’ont pas été atteints par les lumières de notre glorieuses exception. Nous, on peut travailler moins que les autres, taxer plus que les autres, réglementer plus que les autres, parce qu’on est Français.
C’est la France OSS 117.
On pourra bien grappiller encore un peu de taxes en pensant que c’est la solution (« il suffit de taxer les riches »), mais rapidement il n’y aura plus rien ni personne à taxer.
Nous serons quelque chose entre le Liban sans les cèdres et le Venezuela sans le pétrole. Le coq sur un fumier.
tu n'as pas fait empathie en seconde langue en tout cas