IUFM, renseigne-toi pour une fois.
Regarde ce que c'est Femen, elles sont aussi endoctrinées et pourries que le système qu'elles font semblant de dénoncer. Enfin, font semblant, celles qui se sont fait choper doivent avoir un peu de conviction mais elles servent des illuminées qui n'ont qu'un but, comme les pseudos ennemis déclarés : le pognon.

Seulement, elles ont compris une chose comme la plupart des puissants : l'image fait tout et beaucoup s'en contente.

Ce qui gêne peut-être certains, c'est le côté athéiste des Femen, prêtes à s'enflammer à la fois contre la religion chrétienne, et l'islamisme intégriste, et le fait qu'elles semblent donc les mettre toutes dans le même sac, aux yeux de certains.

...

Ah! Athéisme, c'est donc ça?

Donc, passer en courant devant une mosquée de luxe en France ou sur une place en Tunisie, pour dénoncer l'islam, et s'attaquer quotidiennement au catholicisme (qui, vous en conviendrez, n'oppresse plus grand monde, si ce n'est l'esprit malade des enfants de Robespierre), c'est idem?
Excellent! ce que nous proposent ce groupuscule marginal, c'est donc de bouffer du curé pour monde meilleur.
Ça pouvait paraitre pas con à l'approche de l'Euro en Ukraine, mais c'était sans compter sur les socialo-communistes, toujours sur le pont pour récupérer ce genre d'initiatives à leur compte. Si quelqu'un peut nous renseigner sur le parti qu'elles soutenaient aux dernières présidentielles? Pas compliqué, un parti qui, comme elles, ne représente finalement pas grand monde comparé son exposition médiatique...
Qu'elles aillent montrer leurs culs à Kaboul si elles veulent défendre la condition des femmes réellement opprimées.

Ca m'aurait étonné aussi que Xtian et Tial ne viennent pas critiquer l'action de ses femmes ... il manque Issa Nissa encore !

Peu importe les causes qu'elles défendent, et jm'en fous, je les félicite pour leur courage d'avoir osé faire ça dans un pays comme la Tunisie ! Elles ont bien plus de couilles que bon nombre de Français qui râlent toujours mais qui ne font rien.

c'est quand même donner de la confiture aux cochons cette histoire
je pense qu'ici il y aura beaucoup plus de connaisseur à même d'apprécier le spectacle

"l y a quelques minutes, Aleksandra Shevchenko, l'une des leaders du mouvement FEMEN a été illégalement expulsée de Tunisie. Aux alentours de 13h30, heure locale, Aleksandra a été arrêtée par les services secrets tunisiens, directement dans sa chambre d'hôtel, au Pasha, Avenue Khenerddine Pasha à Tunis. Après quatre heures de garde à vue, elle a été mise dans un avion à destination de Kiev avec un changement à Paris. Le passeport d'Aleksandra est en possession du capitaine de l'avion. FEMEN affirme que les autorités tunisiennes sont paniqués et se protègent des activistes FEMEN en agissant brutalement et illégalement. En usant de tels procédés, la Tunisie a rejoint le groupe de pays dictatoriaux où FEMEN est considéré comme persona non grata, dans la lignée de la Russie et de la Biélorussie. En réponse à ces actes de répression, FEMEN déclare tous les officiels tunisiens, ceux qui ont choisi la voix de l'islamisme, personnes non grata du monde civilisé"

A première vue, cela ressemble à du féminisme, mais les Femen posent de grands
problèmes qui ne peuvent être négligés. Elles font leur promotion en employant une
démarche de pur marketing qui les mène à s’insérer sans problèmes dans la culture
porno. Qui plus est, leurs conceptions sont racistes et néocoloniales.

Mais en tant que femmes racia­li­sées, nous remet­tons en ques­tion les dik­tats de l’uni­ver­sa­lisme blanc et mas­cu­lin et du fémi­nisme blanc qui dénient toutes autres visions du monde ou vécus. Le fémi­nisme occi­den­tal n’a pas le mono­pole de la résis­tance à la domi­na­tion mas­cu­line.

Nous refu­sons les pré­sup­po­sés idéo­lo­gi­ques selon les­quels le fémi­nisme serait incom­pa­ti­ble avec la foi reli­gieuse, notam­ment en por­tant et défen­dant la parole fémi­niste des femmes croyan­tes. Nous assu­mons et reven­di­quons nos iden­ti­tés plu­riel­les, aux contours varia­bles faites aussi de contra­dic­tions et d’imper­fec­tions.