Si grand écart:

passer de la suppression de la carte scolaire à son extension au privé, je vois pas en quoi il s'agit d'un "petit" écart!

Suppression de la carte scolaire dans des zones test les conneries commencent...

Merci pour tes superbes arguments pour critiquer cette mesure M. PLAGIAT... euh... M PHEV pardon...

T'es plus con que le trou du cul d'un âne, toi.
Proverbe groisillon qui te va à merveille.

M****, tu pourrais quand même reconnaître que c'est un grand écart!!!

Ce serait comme dire "Régularisation de tous les sans-papiers" puis quelques temps après "tout le monde dehors!" avec des variantes entre les 2. Ou inversement.

Elle a complètement changé de discours, grand bien lui fasse; mais ça reste un grand écart!

...

Bonjour la mauvaise foi...

Pour critiquer l'ouverture, tu t'attaques aux seuls postes de ministres mais pour critiquer la parité tu t'attaques aux ministres ET aux secrétaires d'état.

...

L'ouverture est bien là même si ce sont des "traitres". Quant à la parité...
Comme Tial, le seul critère qui devrait compter est la compétence: si toutes les femmes politiques étaient plus compétents que les hommes politiques et bien, qu'elles prennent tous les postes!

La parité, ce n'est que de la poudre aux yeux et qui ne va pas changer grand chose à la vie politique. L'équité salariale est bien plus importante!

Lorsque Dieu créa le monde, il décida de concéder deux vertus à chacun des hommes qu'il venait de façonner afin qu'ils puissent prospérer dans l'harmonie et le bonheur.

C'est ainsi qu'il distribua ces vertus :
Il rendit les Suisses ordonnés et respectueux de la loi,
Les Anglais, opiniâtres et flegmatiques,
Les Japonais, travailleurs et patients,
Les Italiens, joyeux et romantiques,

Et quand vint le tour des Français, il dit :
Ceux-là seront intelligents, honnêtes et sarkozistes.

Quand le monde fut achevé, l'ange Gabriel que Dieu avait chargé de la distribution des vertus lui demanda :

- Seigneur, j'ai fait comme tu m'as dit et j'ai octroyé à chaque peuple les deux vertus que tu as choisies pour eux, mais j'observe que les Français en ont eu trois.

Est-ce parce que tu as pour eux une préférence secrète ou pour qu'ils se placent au dessus des autres ?

- En vérité je te le dis, Gabriel, je leur ai accordé trois vertus parce qu'effectivement ils se croient au dessus des autres peuples, mais soit rassuré dans mon esprit de justice, chaque peuple a bien deux vertus et deux seulement, y compris les Français car chacun d'entre eux ne pourra en posséder que deux à la fois.

Ainsi, si un Français est sarkoziste et honnête, il ne sera pas intelligent.
S'il est sarkoziste et intelligent, il ne sera pas honnête.
Et s'il est intelligent et honnête, il ne sera pas sarkoziste

AFP - Mai 2007
Les mesures fiscales promises par Nicolas Sarkozy restent à définir (Woerth)

Les modalités d'application des mesures fiscales promises par Nicolas Sarkozy pendant la campagne présidentielle restent à "discuter", a indiqué mardi le ministre du Budget et des Comptes publics Eric Woerth.

Interrogé sur LCI, Eric Woerth a souligné que "ce qui nous engage, c'est le projet de Nicolas Sarkozy. Après on peut discuter de modalités sur beaucoup de choses".

Les propositions du nouveau président de la République pendant la campagne (détaxation des heures supplémentaires, exonération des intérêts d'emprunt, bouclier fiscal à 50%), "ne seront pas dénaturées, elle seront appliquées de la façon la plus pure, la plus efficace", a-t-il assuré.

Interrogé sur le périmètre exact et le coût budgétaire de ces mesures, le ministre ne les a pas détaillées.

"Les textes sont en cours de préparation entre Matignon, l'Elysée et les ministères compétents, et puis cela fera l'objet d'une présentation en Conseil des ministres très prochainement", a-t-il indiqué.

"Je suis un ministre politique, je ne suis pas un comptable en charge des comptes. Je suis en train d'essayer de faire en sorte qu'on puisse arbitrer entre ces mesures", a-t-il déclaré.

La suppression des charges et de l'impôt sur le revenu appliqués aux heures supplémentaires représente "plusieurs milliards d'euros, (mais) CELA DEPEND DE CE QUE NOUS PRENONS", A-T-IL SOULIGNE.

Quant au crédit d'impôt sur les intérêts d'emprunt, TOUT DEPEND EGALEMENT DES DETAILS DE LA MESURE, a déclaré le ministre. "Est-ce que vous plafonnez ? Est-ce que vous ne plafonnez pas ? Est-ce que vous considérez que c'est l'ensemble des intérêts qui sont concernés?" ou une partie, s'est-il interrogé.

Le plafonnement des impôts directs à 50% des revenus (le "bouclier fiscal") fera "partie du paquet fiscal du mois de juillet et sera mis en application le plus vite possible", a-t-il précisé.