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Ces lieux brestois oubliés
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Page 10 sur 10

Auteur:  Tiflo [ Ven 12 Mai, 2017 13:24 ]
Sujet du message:  Re: Ces lieux brestois oubliés

quel scandale.
un coup de schlag ne leur ferait pas de mal.

Auteur:  Peinard Bed [ Ven 12 Mai, 2017 13:41 ]
Sujet du message:  Re: Ces lieux brestois oubliés

Ca ne leur ferait pas de bien, non plus.

Auteur:  Alban [ Ven 12 Mai, 2017 17:12 ]
Sujet du message:  Re: Ces lieux brestois oubliés

Ces parasites...


Image

Auteur:  Rieder im Biersturm [ Ven 27 Oct, 2017 9:52 ]
Sujet du message:  Re: Ces lieux brestois oubliés

Brest dans le Figaro :D

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2017/10/27/97001-20171027FILWWW00079-brest-vend-aux-encheres-une-chapelle.php

Auteur:  Kreizmar [ Dim 26 Nov, 2017 0:42 ]
Sujet du message:  Re: Ces lieux brestois oubliés

Je suis passé cet après-midi au moulin blanc. J'ai découvert avec beaucoup de stupeur qu'ils avaient viré l'épave échouée depuis des décennies. :shock:

Auteur:  Matiass [ Dim 26 Nov, 2017 12:07 ]
Sujet du message:  Re: Ces lieux brestois oubliés

Kreizmar a écrit:
Je suis passé cet après-midi au moulin blanc. J'ai découvert avec beaucoup de stupeur qu'ils avaient viré l'épave échouée depuis des décennies. :shock:


oué ça fait quelques années, le bateau avait été abîmé suite à une tempête

Auteur:  macgovern.tony [ Dim 26 Nov, 2017 13:08 ]
Sujet du message:  Re: Ces lieux brestois oubliés

Kreizmar a écrit:
Je suis passé cet après-midi au moulin blanc. J'ai découvert avec beaucoup de stupeur qu'ils avaient viré l'épave échouée depuis des décennies. :shock:


https://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/brest-au-moulin-blanc-ma-petite-folie-tire-sa-reverence-4316993

Auteur:  Siemens [ Dim 26 Nov, 2017 13:49 ]
Sujet du message:  Re: Ces lieux brestois oubliés

Kreizmar a écrit:
Je suis passé cet après-midi au moulin blanc. J'ai découvert avec beaucoup de stupeur qu'ils avaient viré l'épave échouée depuis des décennies. :shock:

Ça fait un paquet temps qu’il a été enlevé...

Auteur:  Peinard Bed [ Jeu 21 Déc, 2017 19:54 ]
Sujet du message:  Re: Ces lieux brestois oubliés


Auteur:  JeanDeff [ Lun 07 Mar, 2022 12:43 ]
Sujet du message:  Re: Ces lieux brestois oubliés

Un blog énorme sur la jeunesse brestoise des années 80 : http://ladislasboszo.eklablog.com/

Auteur:  Pilgrim29 [ Mer 09 Mar, 2022 16:04 ]
Sujet du message:  Re: Ces lieux brestois oubliés

Je l'adore ce blog.
:)

Auteur:  lcdsound [ Ven 21 Oct, 2022 21:55 ]
Sujet du message:  Re: Ces lieux brestois oubliés

Ça vient d'être mis en ligne.
Brest en 1994. Snif.

Auteur:  lonol [ Ven 21 Oct, 2022 22:25 ]
Sujet du message:  Re: Ces lieux brestois oubliés

lcdsound a écrit:
Ça vient d'être mis en ligne.
Brest en 1994. Snif.

Génial, merci pour le partage.
C’était une super époque. J’aimais ce Brest.

Auteur:  Patrickm29 [ Dim 23 Juil, 2023 20:46 ]
Sujet du message:  Re: Ces lieux brestois oubliés

Toute ma jeunesse...

https://www.letelegramme.fr/finistere/b ... 398942.php

Par Steven Le Roy
Le 23 juillet 2023 à 17h35

En ouvrant ses portes à Guipavas et finalement pour tout Brest en ce mois de juillet 1973, la discothèque le « Melody » ne sait certainement pas encore qu’elle va changer durablement la vie nocturne locale, atteignant dans les années 80 le statut envié de mythe absolu. Retour toute la semaine sur une saga avec de la bière, de la dragouille et plein de zic’. Pour les 50 ans qu’elle n’a jamais eus.
Lucky, est la figure emblématique du Mélody. C’est lui qui a ouvert ce club en 1973 pour en faire un fleuron de vie nocturne baignée au rock’n’roll
Lucky, est la figure emblématique du Mélody. C’est lui qui a ouvert ce club en 1973 pour en faire un fleuron de vie nocturne baignée au rock’n’roll (Photo collection Jipé Richard)

Il était droit comme un piquet, toujours élégant, toujours calme, parlant d’une voix discrète et suave. Jean-Lucien Alarcon était la figure emblématique du Mélody, celui qui avait fait de ce bâtiment quelconque, au fond de Guipavas, une cathédrale pour la jeunesse de trois décennies. Personne ne l’appelait Jean-Lucien. Dans son royaume, puis dans toute la ville, il n’était que Lucky. Depuis le début des réjouissances, en 1973, au moins. À cette époque, dans les bistrots branchés qui préparaient à la nuit, connaître Lucky équivalait à vivre en couple avec Blondie. Et il y en avait toujours un, plus rarement une, qui pérorait -avant la fermeture du zinc- qu’il connaissait bien Lucky. Il insistait sur le BIEN, certain, du haut de sa petite « chauffe », que tout le groupe allait rentrer gratos dans le saint des saints. Souvent, personne ne rentrait, une fois sur place.
À lire sur le sujet Lucky, figure des nuits brestoises
Le Mélody, à Guipavas. Près de 25 ans de succès pour l’éternité. (Photo Jipé Richard)
Le Mélody, à Guipavas. Près de 25 ans de succès pour l’éternité. (Photo Jipé Richard)
Cure et pogo

Il faut bien imaginer, surtout depuis la fin des 70’s et jusqu’à la fumée des cierges en 1997, que le « Mélody » était la boîte convoitée par tous ceux qui voulaient s’extraire de la majorité des tubes FM et du disco. Sur ces terres,« L’Apocalypse » régnait en maîtresse des lieux. Une faune d’étudiants, rockers et punk, puis durablement « Corbacs » à la mesure que la dégaine de Robert Smith des « Cure » imposait les cheveux longs en pétard, le maquillage noir et tous les miaulements désespérés. Il convenait alors de danser pieds joints et bras ballants sur « The Forest », inoxydable ou alors les Sisters Of Mercy. Gigotaient au Mélo, évidemment et nulle part ailleurs, comme au « Mélo » et nulle part ailleurs suivaient des pogos hallucinants, avec vrais coups de tatanes sous adrénaline. Un client se souvient des années plus tard de la première fois où a sonné l’alors inconnu « Smell like a teen spirit » de Nirvana, incendiant la piste sancto subito. La première des grandes idées de Lucky et de ses acolytes aux platines a donc été de se démarquer du « mainstream » en farfouillant dans les charts anglais, en prenant la mesure des musiques qui comme des hordes vikings d’alors, allaient envahir la Bretagne puis la France sous peu.
Le logo du Mélo : identifiable pendant des décennies !
Le logo du Mélo : identifiable pendant des décennies ! (Daniel Le Page)
Un verre gravé comme une relique

Mais à ce flair de limier à guitares, il a très vite fallu ajouter les multiples coups de génie marketing de l’équipe en place. Le plus brillant s’est produit dès l’ouverture en imposant pour logo de la boîte cette jeune femme échevelée, sexy en diable, psyché, envoûtée et envoûtante, se devinant terriblement indépendante. Des années plus tard, alors que leurs tempes ont blanchi et que leurs jambes ne supporteraient pas plus d’un pogo hard core, des habitués de naguère sortent des verres estampillés de l’égérie comme des saintes reliques. « C’est mon dernier » lâchent-ils parfois, rembobinant le temps où le sport national sous une certaine ivresse était de barboter le verre où peu de temps avant stagnait une crème de whisky ou un gin-fizz que la maison fabriquait elle-même. Des boissons, elles aussi, de compète. « Lucky savait très bien tout ça », se gondole aujourd’hui Jipé, l’un des barmen, « ses verres, il en faisait refaire régulièrement ». Lucky savait aussi qu’à moindre coût, il créait une forme d’attachement via un simple godet avec sa « Mélody » gravée dessus.
Le verre iconique du « Mélo »
Le verre iconique du « Mélo » (Bernard Hili)
La chasse au billet gratos

Alors, le « Mélo » est devenu plus qu’un club. La presse parisienne et même la télé s’y intéressent, via quelques reportages. Une partie de la jeunesse brestoise le mentionne dans un petit clip vers le début des années 90, ces mêmes jeunes qui se foutent plus de cette médiatisation que de la grande chasse du week-end : trouver l’un des rares billets exonéré dans les bars de la ville et donnant le droit à la gratuité pour pogoter au paradis. Ce n’est rien de plus que ce que chantent les Matmatah, évidemment clients du lieu, à peu près au moment de la fermeture définitive du spot en 1997. « Si pour l’Mélo, y’a plus d’entrées (et il n’y en avait plus, de fait), viens donc faire un tour à Lambé » ou ailleurs. En s’éteignant aux lueurs du millénaire, la discothèque laisse un profond désarroi et une nostalgie immédiate chez ses plus anciens clients.
Râteau, patin et mandale
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Un quart de siècle plus loin, les lumières du « Mélo » ne sont toujours pas éteintes dans les mythologies urbaines brestoises. Des soirées avec le son du « Mel’» (les Brestois s’arrangent toujours pour faire le plus court possible) ont attiré les foules de celles et ceux qui pensaient avoir encore 20 ans, avec le perf mais sans la coupe mulet, sacrifiée depuis longtemps. À l’automne, le 14 octobre prochain, les pompiers auront un espace dédié lors de leur bal. Voilà pour le collectif. Pour l’individuel, chacun y verra le gnon sur le parking, un râteau spectaculaire au comptoir, un premier patin sur « Everybody hurts » de REM, Lucky qui paye « un petit verre ». Et fredonnera le « Love like blood » de Killing Joke, en souriant.

Auteur:  Laurent [ Ven 28 Juil, 2023 13:31 ]
Sujet du message:  Re: Ces lieux brestois oubliés

lcdsound a écrit:
Ça vient d'être mis en ligne.
Brest en 1994. Snif.


Pinaise! Souvenirs! 1994 mais un vent de fraîcheur que ce partage. Merci :wink:

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