Bonne blague le ps, ça m'a rappelé un parti qui a existé et qui a surfé sur l'espoir de générations de français, pour ensuite la leur mettre bien profond en se vendant au libéralisme économique. La honte, ils voulaient tenir le haut de l'affiche et être connus. Ils sont les représentants d'un parti de la honte. Je leur donne le crédit d'être des idiots utiles, car se faire baiser à ce point là. Si c'est volontaire là c'est plus de la trahison. Normalement ils ne sont justes que des épris de pouvoirs, les vrais tordus sont les représentants du libéralisme économique.
Sans rentrer dans la comparaison avec le pire de nos ennemis, qui fit des choses atroces jusqu'à la pointe du finistère, c'est vrai que le pass * vaccinachtung et toutes ces boites allemandes qui n'ont jamais vraiment coupé leurs liens avec notre pire ennemi, moi ça me fait flipper.
Tout finit par se savoir on dit, nous verrons bien. A moins qu'il y en ai qui fassent une sarkozy sur le colonel, envisageable vus les tordus qui tiennent ces boites, qui sont au dessus des lois. Qui cumulent les condamnations pour faits graves, délits, crimes. Car se planter sur la mise en circulation d'une molécule dangereuse et tout faire pour continuer à la vendre... Nous savons bien ici à Brest à quel point parfois une seule personne raisonnable, peut avoir à se battre contre l'industrie pharmaceutique, et ce afin de juste faire son métier selon le serment d'hippocrate.
* pass c'est un mot français ?
En même temps quand je vois la "BBS" qui reprend un sigle existant, celui d'une marque de jante de voiture. Ben oui BBS c'est une marque de jantes, comment ça se passe quand une école "supérieure" de commerce s'approprie un sigle qui existe déjà et qui est une marque déposée ? Je dis ça je dis rien, ils ont surement du s'assurer qu'ils avaient le droit de s'appeler BBS  Ca fait penser à TBS, limite niveau marchandisage (le mot français qui se traduit en roasbeefton par marketing) c'est vendeur et puis ça fait presque penser au monde de la voile, très Brestois. Je me demande quels sont les programmes, ça doit être interessant d'aller voir un professeur enthousiaste imprégner un amphitheare entier de la crème de la crème des futurs "managers (réussisseurs en céfran). J'espère qu'ils ne sont pas trop dans la conviction la plus profonde et l'auto congratulation nécessaire à la construction d'un bon gros melon de manager du futur. Pour ça que je vous dis si votre fille ou votre fiston hésite entre un GEA et un sup de co, c'est vous qui voyez, mais les fondamentaux du commerce aujourd'hui dans les grandes théories, ça oublie totalement la gestion. C'est du maquillage et de l'auto persuasion, ça navigue à vue, ça s'adapte, c'est dépendant, ça se met à genou. Même si je ne suis pas un lecheur de patron, plus un observateur respectueux, je conseille à ceux qui ont le temps de s'interesser aux cours d'économie d'entreprise, de stratégie, il est là le coeur du problème que nous avons pour moi. Le camp des libéraux s'est imposé il y a quelques dizaines d'années. Or on voit bien aujourd'hui après les crises successives, que les entreprises qui durent (mises à part celles qui sont subventionnés grace à leur role dans le spectacle ou grace à leurs bons contacts) sont celles qui ont su conserver leurs credo, leur mode de gestion des ressources humaines, qui ont su se rendre le moins dépendante possible des marchés, avec une gestion saine, en bon père de famille, patiente, réaliste. Tout baser sur le marketing et la force de vente, c'est ne pas mettre le paquet sur l'outil de production, la qualité, la qualification des travailleurs. La fonction commerciale a pris le pas sur la fonction dirigeant d'entreprise il y a quelques dizaines d'années, il est grand temps que ce rapport de force s'inverse. Car le niveau n'en finit plus de baisser, avec les vrp de luxe au pouvoir, les fils à papa qui s'entretiennent depuis des générations. Il y a quelques exceptions tout de même, un gars du coin notamment (et d'autres), qui a de bonnes idées en plus d'être un bon gestionnaire a surtout retenu/integré que l'image d'une entreprise c'est avant tout l'image que dégage le patron.
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