Mercredi dernier, il a été tout simplement catastrophique, mangé dans tous ses duels et sorti à la 45ème.

Ouest-France
David GUÉZENNEC.
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À 32 ans, vous envisagez quoi ?

Si je casse la baraque 5 mois, pourquoi pas me refaire un nom. Si je peux retrouver une National ou une Ligue 2, même si c’est compliqué quand tu redescends au niveau amateur. C’est un challenge, et si ça ne réussit pas j’opterai pour une reconversion, mais je veux me faire voir.

Pourquoi être allé en Azerbaïdjan après Brest ?

On n’était pas d’accord avec Brest, j’ai eu une meilleure proposition en Azerbaïdjan. J’ai gagné une coupe d’Azerbaïdjan, j’ai été champion. Ça s’est bien passé.

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Vous vous souvenez de votre surnom à Brest ? « supersub » ?

(Pour super-remplaçant). À Milizac, j’espère que je ne finirai pas en « supersub », (sourire). Bon, c’est une étiquette que j’avais perdue en Azerbaïdjan. Même si c’était une qualité à Brest de montrer mes forces en dix minutes de temps de jeu, une force mentale aussi. À Milizac, Je veux prendre du plaisir, jouer, montrer mes qualités.